Ma vie avec toi. [EN COURS]

Préambule; (histoire de vous mettre dans l'ambiance, ça ne compte pas comme un chapitre !)

Je m'appelle Alyssia, j'ai 19 ans. J'habite en région parisienne, ville des stars françaises pour la plupart. J'habite plus précisément les quartiers bourges de Paris avec mon père, agent de sécurité. Nous vivons à deux pas du loft de Max Boublil, ou encore à quelques mètres de l'appartement de Matt Pokora, je sais que bien de jeunes filles dirons que j'ai de la chance, ou elles m'insulterons tellement elles seront vertes de jalousie. Mais si vous saviez à quel point je m'en fou qu'ils habitent à côté de chez moi, les stars c'est pas trop mon truc, je suis pas du genre fanatique ! J'aime bien la musique, j'adore même, mais je me fou des artistes, oui j'écoute les chansons rigolote de Max, il me fait mourir de rire, oui j'écoute les balades de Matt Pokora, mais je ne les aime pas. Trop de gloire, trop de tout. En parlant de stars et de gloire, mon père, l'agent de sécurité, travaille d'ailleurs pour Monsieur Pokora, où plutôt son vrai nom Monsieur TOTA. Selon mon père, c'est un gars très agréable, déconneur et super gentil et si je passais un peu plus de temps à m'intéresser à eux je suis sûre que je penserais pareil que toutes les gamines de mon âge et rêverais de lui chaque soir. Mon père est fou ! Je ne remets pas en doute toutes les qualités humaines du chanteur, ah ça non. Je ne doute pas de ça sympathie, ni de sa générosité, ni même de son côté blaggeur, mais à quoi bon aduler une star qui en échange ne vous accorde aucune importance. Quand je vois toutes ses filles qui aiment à en perdre la tête telle ou telle star, alors que cette dernière ne sait même pas que vous existiez, je trouve ça complètement idiot. Bien que j'ai fait partie de ce genre de personne plus jeune, lors de ma période Tokio Hotel par exemple (oui j'ai honte maintenant d'avoir aimer cela, mais on est jeune, insouciant et nous n'avons pas toujours conscience de nos actes) mais tout cela est définitivement révolu ! Mais c'est pas de ma crise anti-fan de n'importe quelle star que j'ai envie de vous parler c'est d'un évènement marquant ma vie au fer rouge. La suite de mon destin... Parce qu'il s'en ai passer des choses dans ma vie, et c'est bien la peine de raconter...
Après cette période anti-fan, je me suis à mis à m'intéresser à la vie de certaines stars, qui m'intéresser vraiment, dont le travail musicale me faisait vibrer, tel que Rihanna ou bien Katy Perry chez les femmes, Baptiste Giabiconi ou Matt Pokora chez les hommes. Et oui j'ai fini par m'intéresser à mon cher voisin dans la plus grande discrétion du monde. Et je dois bien vous avouez que j'ai bien fini par devenir accroc, je vieiller chaque jour le twitter, et la page facebook de mes artistes préférés pour savoir ce qu'il faisait, les news ce qu'il se passer. Jusqu'à mon premier concert de Baptiste Giabiconi, j'étais déjà très émue de voir un de mes artistes favoris sur scène, et je vous laisse imaginer mon émoi quand viens un titre spécial, le duo de Baptiste et Matt créer il y a peu de temps, un chef d'oeuvre, la plus belle surprise, étant de voir Matt monté sur scène aux côtés de Baptiste pour chanter cette chanson ! Personne ne s'y attendais il faut l'avouer. C'est là que j'ai compris le bonheur d'être fan. Et qu'en fait c'était essentiel.

Chapitre 1 : L'objet du désir;

Quelques semaines avaient passées depuis le concert de Baptiste Giabiconi, et j'en avais garder de merveilleux souvenirs, après le concert Matt et Baptiste faisaient une séance dédicasses et photos, malheureusement ma mère pressée par le temps n'a pas voulu que j'y assiste, j'aurais pu rester seule, mais ma voiture étant en réparation c'est ma mère qui est venue me chercher, et mon père qui m'avais déposé puisqu'il était de service pour Matt ce soir-là, d'ailleurs il a réussi à m'avoir un autographe j'étais réellement contente ! "À Alyssia, des bisous, Matt" je l'ai affiché dans ma chambre, et à chaque fois que je la vois, je me dis waw t'es devenue vraiment zinzin ma pauvre fille mais au final je m'en fou moi qui prônait qu'être fan ça ne servait à rien, et je suis pire que certaines aujourd'hui. J'ai vraiment l'esprit contradictoire ! À 19 ans vous vous doutez bien que je ne vais plus en cours, alors qu'est-ce que je fais ? Hé bien je suis "mannequin", je ne peut pas réellement dire ça mais je pose de temps en temps pour des articles de mode, d'une marque pas très connue, mais même si ce n'est que de temps en temps ça me permets largement de bien vivre surtout que tout ce que j'ai à payer c'est pour mon plaisir puisque je vît chez mon père et qu'il me nourrit, lave mon linge, me fournit un toit sur la tête, je n'ai vraiment pas à me plaindre et je suis consciente de tout ce que mon père m'apporte ! Enfin bon, j'aide un peu et lui fais ses courses de temps à autres pour qu'il n'est pas tout à payer seul, parce que même si mon père n'est pas en reste niveau compte bancaire ça lui fait toujours plaisir quand il remarque que je pense à lui et que j'y ai fais des courses, enfin je sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Bref, aujourd'hui Matt Pokora donne une séance de dédicasse dans un grand magasin de Paris, j'ai bien envie d'y aller mais avant que je réussi à l'approcher la séance sera largement fini, toutes les groupies se bousculeront pour avoir la chance d'avoir un autographe et éventuellement une photo avec lui, c'est vraiment du grand n'importe quoi ! Quoi que je serais peut-être la première à tirer deux ou trois crinières pour faire de la place et passer plus vite, je plaisante bien entendue, je vais pas faire la sauvage pour une photo alors que... Mon père est son agent de sécurité ! Alors là, je suis vraiment idiote, si j'y avais penser plutôt, ça m'éviterais de me torturer l'esprit pour un oui ou pour un non, alors que j'ai la solution sous le nez depuis le début !

Le père : Lyssou ?
Moi : Oui ?
Le père : Ce soir je mange pas ici ! Je suis invité ailleurs.
Moi : Euh d'accord... Mais où ?
Le père : Chez Matt. Pourquoi tu veux venir ?
Moi : *yeux roulant* Bah... Pourquoi pas...
Le père : C'est bon j'ai compris, vas te préparer.

J'adressa un énorme sourire à mon père, j'avais presque envie de lui sauter dans les bras, mais de tels marque d'affection c'est vraiment pas mon père et moi, on est pas trop à s'faire des mimis, et des poutous, non on s'aiment on le sait, on s'le dis, rarement, mais on s'le dis. Mais c'est pas non plus des "ma princesse" ou "ma chérie". Je monte en quatrième vitesse, et mets de la musique à fond, L'objet du désir n'est vraiment fait que pour vous, l'objet du désir dispo' de nuit comme de jour... chanter Matt Pokora dans la chanson, je ne pouvais m'empêcher de danser, je souriais comme une idiote, et il fallait que ce soir je sois très bien habillée, mais pas trop, je veux pas faire la fille waw je vais manger chez Matt Pokora je sors la robe de l'année, non, je mettrais une tunique avec des talons et une ceinture, sans oublier un legging et ça sera partit, ça fait bien mais décontractée. Même à 19 ans j'ai des réactions de gamines de 12 ans et demi à qui on achète une barbie, j'ai honte de moi parfois je l'avoue... Me voilà enfin habillée puis maquillée, je descends en bas, aucune remarque de mon père c'est qu'il trouve que je suis habillée normal sinon il m'aurais charrier. Nous voilà partit en direction de l'appartement de chez Matt. C'est la première fois que je l'approcherais de si près, et la première de ses fans à sûrement dîner chez lui... Waw.

Chapitre 2 : Un dîner presque parfait !;

C'est la première fois que je l'approcherais de si près, et la première de ses fans à sûrement dîner chez lui... Waw. Nous y voilà, devant la porte de l'appartement de Matt Pokora. Mon père sonne à la porte, l'attente des quelques secondes fût pour moi une éternité, enfin il me sembla. Enfin la porte s'ouvre une jeune femme, plutôt grande, mince et jolie, sa copine ?! Oula, sûrement oui. Matt arrive par derrière !

Matt : Ah ! Tiens Thomas ! Et... ? Je présume que c'est ta fille dont tu me parle tant.
Moi : Alyssia *bafouillant et tendant la main*
Matt : Entrez donc ! Enchanté Alyssia. La bise ne serait pas mieux qu'une poignée de main ? *tends sa joue*
Moi : Ah, si si. *lui fait la bise*

Nous entrâmes mon père et moi dans le sublime appartement de Matt, il était plutôt design et noble en même temps c'était réellement magnifique. La jeune femme me toisa de haut en bas, d'un regard plutôt méchant. Je ne savais pas ce que je lui avais fait encore, mais je crois qu'elle ne m'appréciait guère.

Matt : Oh ! J'allais oublié de vous présentez, voici ma soeur Estelle. Estelle, Alyssia et Thomas. Mes voisins, et mon agent de sécurité.
Estelle : Ok. Enchanté.
Thomas : De même.

Mon père répondit mais moi j'étais bien trop occupée à regarder la décoration magnifique pour me pré-occupais de la conversation, en plus je n'étais pas du tout enchantée de savoir que c'était sa soeur, même si ce n'était pas sa copine. Elle n'avais pas l'air d'être très sympa, peut-être étais-ce une carapace ? Ou qu'elle n'aimais pas que des filles approche son frère, de peur qu'il profite de lui ? Par jalousie ? Par posséssivité ? Enfin, Matt nous invita à s'asseoir au salon, pour servir l'apéritif.

Matt : Vous voulez boire quoi ? J'ai avec ou sans alcool.
Thomas : Pour moi, un verre d'eau, ça ira. Et toi Alyssia ?
Moi : Oh, la même chose s'il te plaît.
Matt : Pas de problème.

Estelle toujours muette se dirigea vers ce qui semblait être la chambre d'ami, et revînt avec son sac et sa veste. Elle en dis rien et claqua la porte. Elle n'avais pas l'air de très bonne humeur. Matt souffla levant les yeux au ciel en revenant avec nos verres d'eau et ce qui semblait un verre de coca pour lui.

Matt : Je suis réellement désolé de l'attitude d'Estelle. Elle est très jalouse, elle ne supporte pas que des filles m'approchent et encore moins qu'elle vienne chez moi. Tu a l'air d'être trop jolie pour elle. *clin d'oeil*
Moi : *rougit* Ah.. Euh... Ce n'est pas bien grave, on peut comprendre. Elle a peut-être peur pour toi, que tu sois face à des profiteuses ou tout autres genre de filles délurées.
Matt : *rît* Je lui ai répéter plusieurs fois pourtant qu'avec mon agent de sécurité il était impossible qu'il y ait des choses comme ça, ton père me protège très bien et même si nous nous engueulons souvent face aux personnes qu'il interdit de m'approcher, il remarque les gens bizarres de très loin !

Mon père et Matt rîrent ensemble et se charrièrent durant tout le temps de l'apéritif, je remarquais que Matt me jetais quelques regards, puis mon père le faisait aussi juste après me faisant un clin d'oeil. Je ne comprenais pas toute la signification, mais en tout cas je passer moi aussi un agréable moment. Puis nous passâmes à table, Matt avais cuisiné lui même et nous avais préparer en entrée une salade verte, en plat principal un bon magrais de canard, avec du riz et une sauce au beurre, et le dessert il avais acheté un gâteau. C'était très bon, à la fin de ce repas, je fût repu.

Moi : En tout cas Matt, c'était vraiment très bon !
Matt : Merci, ça me fait plaisir.

Puis pour finir la soirée, Matt très joueur nous proposa de jouer à un jeu de karaoké, je n'étais pas très douée en chant et ne parlons pas de mon père qui fît un véritable un carnage. Ce fût mon tour, je pris le micro, et j'interpréta une chanson aléatoire : Adèle - Someone like you. Alors là, c'était juste horrible cette chanson était très difficile à chanter, imaginez pour quelqu'un qui ne sait pas chanter...

Matt : Tu aurais pût nous dire que tu chantais si bien ! On t'aurais mît à la place de ton père ! *rît donnant un coup de coude amical à mon père*
Moi : Je ne chante pas très bien, arrête de me charrier !
Matt : Ah non, là c'est sincère. Ce n'est pas une blague. *clin d'oeil*
Moi : Ah.. Bah, merci. *sourit*

Waw, un magnifique compliement il faut dire, je chantais bien ? Je n'y avais jamais penser, la chanson c'est pas tellement mon truc, enfin, si, mais sous ma douche ! Moi j'étais branchée mannequinat. Enfin la soirée se termina sur ce karaoké improvisé. Matt nous fît la bise, donna rendez-vous à mon père le lendemain, puis nous partîmes chez nous, et sans même se faire un compte rendu de cette soirée entre nous, mon père et moi partîmes se coucher.