"M.Pokora à l'Olympia : nous y étions!" Charts in France

M. Pokora à l'Olympia : nous y étions !

Il y a deux ans, nous étions déjà à Paris-Bercy. Matthieu y présentait sur scène son album anglais produit par Timbaland, "MP3". Le 21 décembre dernier, nous sommes de nouveau allés applaudir celui qui, depuis huit ans maintenant, poursuit sa carrière, trace bon an mal an son chemin : découvrez nos impressions !

Le 21 décembre dernier, c'est dans un Olympia quasi-complet (qui arborait Matt et non plus M. en lettres rouges sur la devanture ; un beau pied de nez à Matt Houston qui l'avait empêché de porter son pseudonyme il y a quelques années), difficilement praticable à cause des intempéries, que M. Pokora s'est produit sur scène. Le strasbourgeois introduit son tour de chant par "Mise à jour" («je suis réactivé»), issu de son dernier album du même nom, chanson idéale pour se présenter de nouveau au tout Paris, venu l'applaudir. Il faut dire que son dernier opus, classé n°4 à sa parution, s'est stabilisé durant huit semaines parmi le Top 50, une revanche face à tous ceux qui le voyaient cuit. C'est dans un décor futuriste, robotisé, probablement inspiré de la mise en scène des derniers shows de Black Eyed Peas, avec les gants blancs de Michael Jackson (là encore peut être trop de références pas assez personnelles), que le chanteur a enchainé la plupart des morceaux de son dernier disque. Entouré de musiciens réguliers, choristes, et surtout danseurs et danseuses, le jeune homme occupe la scène avec l'énergie qu'il se doit de communiquer à son public, passant en revue la plupart de ses tubes, de "Elle me contrôle" à "Juste une photo de toi", en passant par "Dangerous", ou son dernier single en date, "Mirage".




Le bémol de ce concert pourtant bien ficelé malgré les deux semaines seulement de répétitions, l'Auto-tune sur la voix du chanteur - certes sur trois titres seulement (mais qui, du coup se fait entendre aussi, lorsqu'il parle entre deux couplets), et les interminables enchainements (qu'on pardonne cela dit bien aisément à cause du manque de rodage).

Crédit photos : Sand.Mulas.

Il y a deux ans, nous avions quitté un performer, plus physique que vocal, au sortir de Bercy. Une belle énergie que nous avons retrouvée à l'Olympia mardi dernier, mais à laquelle nous aurions apprécié l'ajout d'un set acoustique guitares/voix plus conséquent, avec notamment la mise en avant de ses textes plus intimes, comme ce fût cela dit le cas sur "Né pour toi", "Comme un soldat" ou "En attendant la fin", sans fioriture, et avec naturel, à l'instar de sa reprise acoustique réussie en bord de scène du "Hey Ya !" de Outcast, au Palais omnisports, fin 2008 - et que nous avions déjà soulignée (il a cette année repris "Apologize" de OneRepublic avec l'aide d'une violoncelliste). Présents dans la salle, Matt a salué ses parents, sa nièce, son ami Gaël Montfils, et a fait monter son frère sur scène à l'occasion de son anniversaire.


«Je crois que le titre ce cet album ne pouvait pas plus coller à mon ressenti du moment. Tu sais, j'ai tout entendu sur mon compte ces dernières années... On a parlé à tort et à travers de ma vie amoureuse, de ma sexualité, mais je me suis toujours efforcé de protéger ma vie privée. Ce qui prouve bien que j'ai réussi, puisqu'elle suscite des interrogations. On a dit aussi que j'étais fini artistiquement, que c'était la fin, et ce dès la parution du premier single en anglais "Dangerous" - qui est quand même entré n°1 en France il y a trois ans, et s'est classé aux premières places dans certains pays européens. Cette “mise à jour” était donc nécessaire. Sachant qu'en plus, j'étais à l'étranger quand toutes ces choses ont été dites sur mon compte dans les médias français. Je n'étais plus connecté avec la France, je n'étais pas là pour y répondre... Aujourd'hui, ce disque est un pied de nez à ceux qui disaient que c'était fini. Je suis bel et bien de retour, après quand même deux ans et demi entre mes deux derniers albums. Je crois aussi que c'est maintenant que j'aurais pu appeler ce disque comme le single, paru il y a quatre ans (Top 6 en 2006) : "De retour" (rires)» déclare Matthieu lors d'une interview donnée à Charts in France en août dernier, et disponible dans son intégralité en cliquant sur ce lien.

Thierry CADET, le jeudi 23 décembre 2010 à 20h.

Sources internet : http://www.chartsinfrance.net/M-Pokora/news-71750.html

Voilà le fameux article qui descend M. Pokora. Le pire c que c le seul à faire un article sur l'Olympia.

je le trouve plus objectif

il a modifié son article, c'etais pas ca que j'avais lu,

"

Citation :

Il y a deux ans, nous étions déjà au Zénith de Paris. Matthieu y présentait sur scène son album anglais produit par Timbaland, "MP3". Le 21 décembre dernier, nous sommes de nouveau allés applaudir celui qui, depuis huit ans maintenant, poursuit sa carrière, trace bon an mal an son chemin : découvrez nos impressions !
Le 21 décembre dernier, c'est dans un Olympia quasi-complet (qui arborait Matt et non plus M. en lettres rouges sur la devanture ; un beau pied de nez à Matt Houston qui l'avait empêché de porter son pseudonyme il y a quelques années), difficilement praticable à cause des intempéries, que M. Pokora s'est produit sur scène. Le strasbourgeois introduit son tour de chant par "Mise à jour" («je suis réactivé»), issu de son dernier album du même nom, chanson idéale pour se présenter de nouveau au tout Paris, venu l'applaudir. Il faut dire que son dernier opus, classé n°4 à sa parution, s'est stabilisé durant huit semaines parmi le Top 50, une revanche face à tous ceux qui le voyaient cuit. C'est dans un décor futuriste, robotisé, probablement inspiré de la mise en scène des derniers shows de Black Eyed Peas, avec les gants blancs de Michael Jackson (là encore peut être trop de références pas assez personnelles), que le chanteur a enchainé la plupart des morceaux de son dernier disque. Entouré de musiciens réguliers, choristes, et surtout danseurs et danseuses, le jeune homme occupe la scène avec l'énergie qu'il se doit de communiquer à son public, passant en revue la plupart de ses tubes, de "Elle me contrôle" à "Juste une photo de toi", en passant par "Dangerous", ou son dernier single en date, "Mirage".
Le bémol de ce concert pourtant bien ficelé malgré les deux semaines seulement de répétitions, l'Auto-tune sur la voix du chanteur (qui, du coup se fait entendre aussi, lorsqu'il parle entre deux couplets), et les interminables enchainements (qu'on pardonne cela dit bien aisément à cause du manque de rodage).Il y a deux ans, nous avions quitté un performer, plus physique que vocal, au sortir du Zénith. Une belle énergie que nous avons retrouvée à l'Olympia mardi dernier, mais à laquelle nous aurions apprécié l'ajout d'un set acoustique guitares/voix, avec notamment la mise en avant plus majeure de ses textes plus intimes, tels que "Né pour toi", "Comme un soldat" ou "En attendant la fin", sans fioriture, et avec naturel, comme sa reprise acoustique réussie en bord de scène du "Hey Ya !" de Outcast, à La Villette, fin 2008 - et que nous avions déjà soulignée. Présents dans la salle, Matt a salué ses parents, sa nièce, son ami Gaël Montfils, et a fait monter son frère sur scène à l'occasion de son anniversaire. «Je crois que le titre ce cet album ne pouvait pas plus coller à mon ressenti du moment. Tu sais, j'ai tout entendu sur mon compte ces dernières années... On a parlé à tort et à travers de ma vie amoureuse, de ma sexualité, mais je me suis toujours efforcé de protéger ma vie privée. Ce qui prouve bien que j'ai réussi, puisqu'elle suscite des interrogations. On a dit aussi que j'étais fini artistiquement, que c'était la fin, et ce dès la parution du premier single en anglais "Dangerous" - qui est quand même entré n°1 en France il y a trois ans, et s'est classé aux premières places dans certains pays européens. Cette “mise à jour” était donc nécessaire. Sachant qu'en plus, j'étais à l'étranger quand toutes ces choses ont été dites sur mon compte dans les médias français. Je n'étais plus connecté avec la France, je n'étais pas là pour y répondre... Aujourd'hui, ce disque est un pied de nez à ceux qui disaient que c'était fini. Je suis bel et bien de retour, après quand même deux ans et demi entre mes deux derniers albums. Je crois aussi que c'est maintenant que j'aurais pu appeler ce disque comme le single, paru il y a quatre ans (Top 6 en 2006) : "De retour" (rires)» déclare Matthieu lors d'une interview donnée à Charts in France en août dernier, et disponible dans son intégralité en cliquant sur ce lien. "

En effet l'article ne fait pas que complimenter !
Mais n'oublions pas que cela ne repose que sur une seule personne, un et unique journaliste.
Donc ce n'est pas forcement objectif ..
Un journaliste aurait pu faire un superbe article et un autre journaliste aurait pu ne pas apprécier du tout le concert et rabaisser les talents de Matt !
Le mieu est de se faire notre propre avis !

là l'article est objectif, c'est un avis, y'a du bon et des chose moins apprecié,chaque journaliste a ces attentes .

cet fois ci matt a plus priviegier la danse, la mise en scene....des choregraphie sous differente forme, contrairement au catch me tour. je connais le journaliste thiery cadet il est trés conservateur, trés variété francaise

ce qui m'avait pas plu et d'ailleur il a modifié son article, c'est quand il a dis que matt a chanté pendant tous le concert en auto tune, aprés il a rectifié il a ecrit sur 3 titre, c'est logique, c'est des son a autotune,


pour ma part c'est comme ci on me disait il a chanté en playback pendant tous le concert, alors qu'il a assuré ces live aidé d'une bande son normal y'avais pas de choriste.or l'article pretend le contraire, deuxieme erreur

c'est pour dire sa le decrediblise, on insulte tous l'effort qui a été fournit, et les gens lise ca ils vont se dire quoi?
il s'aide de l'autotune? pour camoufler sa voix,

dernirement il avait kiffé la reprise de hey yah et qu'il avait pas remis ca, et aprés il a modifié l'article, en soulignant qu'il avait repris apologize avec la même demarche

y'a des gens qu'on le droit pas aimer l'univers, la voix... j'en fais parti
mais dire des erreurs, des chose fausses surtout qui pourrait le decredibilisé.

Alors en effet, la rectifictation de l'article etait importante !

Et en lisant le paragraphe sur l'auto tune .. J'avais peur de lire n'importe quoi. Car pour de simples lecteurs cela pourait être ressentit d'une autre manière que ceux que nous nous avons entendu !

Apres pour moi, un article ecrit par un seul journaliste .. Ca ne peut pas être réellement objectif ! Mais nous qui etions au concert, on peut trouver les critiques objectif concernant cet arcticle .

J'aimerais savoir pour ceux qui étaient au concert, si il y avait beaucoup de journaliste car en dehors de charts in france qui parle de l'Olympia, le reste comme le parisien n'en parle pas et je trouve ça dommage car pas beaucoup de people savent qu'il a fait l'olympia.

J'étais au concert, mais moi personnellement je n'avais pas vu de journalistes... Je sais pas du tout si il y en avait plusieurs, mais sinon c'est vrai qu'il y a peu d'articles..

En soi l'article est objectif et pourrait être constructif s'il ne se contredisait pas autant avec l'idée du "c'est bien mais c'est pas bien" et "c'était mieux avant mais je ne pense pas une seconde à une éventuelle évolution ou un désire de démarcation". Surtout qu'avec deux versions publiées il est totalement décrédibilisé (que se soit l'article, son auteur ou le sujet traité).

Ce qui m'a toujours amusé c'est l'incapacité des journalistes (en bonne majorité) à comprendre la différence en un clin d'oeil/hommage et une inspiration (traitée souvent comme à la limite du plagiat). L'univers propre d'un artiste est formé d'éléments provenant de ce qui l'inspire, de ses référence, il est à prendre dans sa globalité et non à disséquer.

Et pour ce qui est de "l'auto tune", c'est la passion des médias "spécialisés" de lancer un terme technique sans expliquer son utilité et son utilisation. En gros si tu ne sais pas vraiment ce que c'est tu prends la chose comme une supercherie de l'artiste qui l'utilise.