[Fini] Une revanche dans la vie

Cette story est un peut basé sur la vie d'une très bonne amie à moi. Le début en tout cas est ce qui lui est arrivé, ensuite les choses sont inventée. Voila un petit clin d'oeil à toi ma Shéra.

Les chapitres peuvent être un peut long et matt n'apparetra pas tout de suite je pense.
Bonne lecture

Bonjour vous tous les fans de Matt. Je vais vous raconter mon histoire, celle que j’ai vécu il y a quelques temps. J’espère que mon histoire ne vous ennuiera pas, c’est un peut comme une thérapie pour moi. Je vais beaucoup mieux à présent qu’avant mais les veille blessures ne sont pas encore tout à fait cicatrisée mais je vais beaucoup mieux qu’il y a encore quelques mois en arrière. Vous allez tout comprendre au fil des chapitres.

Je me présente, je m’appelle Shéhérazade à présent j’ai 18 ans mais tout à commencer dans mon enfance .J’ai un grand frère qui est de neuf ans mon aîné il s’appel Elias.
Je suis d’origine Algérienne, et je suis née à Alger.
Ma mère s’est mariée avec mon père lorsqu’elle avait 24 ans. Elle est née en Alsace et a tout quitté pour épouser mon père et aller en Algérie. Mes grands-parents étaient très résistants à l’idée qu’une « beurre » aille en Algérie, les algériens de las bas ne sont pas très accueillant envers les reubeu, ma mère me dit souvent qu’ils envient notre vie et notre confort et qu’il ne faut pas leur en vouloir. Donc comme je le disais mes grands-parents n’était pas très d’accord, ma mère m’a répété une phrase que lui a dite mon grand-père et qui est restée encrée dans sa mémoire « Entre la France et l’Algérie y a la Méditerranée, si ton couple ne marche pas t’as cas t’y jeter ». Vous devez sans doute savoir comme la religion musulmane est, le garçon est le roi et on se soucis beaucoup des qu’en dira-t-on, une femme divorcée est considérée comme impure : c’est le code de la famille. Je ne veux pas vous mettre d’image négative de cette religion, je suis très fière d’être de la porter, cette religion à était très transformée durant des siècle mais à la base c’est une religion de respect et d’amour de son prochain. Bien sûre y a la polygamie mais d’après ce que dit le Coran l’homme à le droit à quatre femmes seulement si il les considère au même pied d’égalité et il faut qu’il demande la permission à sa première femme, si elle refuse et bien il ne peux pas se remarier, mais ce passage à était littéralement transformer pour mieux convenir aux hommes.
Bon je ne vais pas m’éterniser sur le sujet, donc comme je disais ma mère et partie pour se marier, au bout de deux ans je suis née, d’un amour fort entre mes parents, toutes les différence entre hommes et femmes n’existaient pas pour mon père, faut dire la religion c’était le dernier de ses soucis. J’avais une vie de princesse, ma famille était plutôt aisée dans un pays où la pauvreté dominait. Mais tout bascula brutalement du jour au lendemain.
Ma mère et moi étions partie pour un mois à Mulhouse voir mes grand parents. A notre retour tout avait changé. Mon grand père paternel était mort une année au paravent et depuis mon père avait quelque peut changer, les relations entre ma mère et lui avaient un peut changé, je me rends compte de ça avec le recul car j’étais trop jeune à cette époque. Nous sommes revenus à Alger et là une lettre attendait ma mère : un lettre de divorce envoyé par la cours de justice d’Alger. Mon père c’était épris d’une jeune femme d’une vingtaine d’année depuis trois mois maintenant. Le cauchemar pour ma mère et moi s’apprêtait à commencer. Du moment où une femme reçoit une lettre de divorce le mari prend la logement et la femme se retrouve à la rie sans rien. Par chance ma mère pouvait compter sur ma grand-mère paternelle, elle était très douce et m’a toujours considéré comme une vrai petite princesse. Je me souvient qu’elle nous à loger ma mère et moi en allant jusqu'à menacer mon père de le retirer du livrer de famille si il ne continuait pas à subsister à nos besoin. Une vraie guerrière ma grand-mère, si elle n’aurait pas était là ma mère aurait sombrée dans la dépression. Je sais que mon père m’aimait, je le voyais tout les jour, on était voisin. Mais il n’adressait plus la parole à ma mère. Par-dessus le marché les parents de ma mère la renièrent, et montèrent la tête à mon frère qui était resté chez eux durant toutes ses année. Ma mère voulait revenir en France, s’enfuir d’ici, recommencer une nouvelle vie, repartir à zéro et tout reconstruire avec mon frère et moi à son côté. Mais mon père refusait de signer une autorisation de sortie du territoire qui me permettrais de venir en France, et d’avoir une qualité de vie meilleure, pouvoir suivre des études normalement. Mes chances seraient beaucoup plus grandes en France, même si je faisais partie d’une famille aisée, tout pouvait s’écrouler du jour au lendemain. Et c’est ce qui arrive.

Mon père perdis son emploit et cumula les dettes, il était de moins en moins présent et quand je le voyait il était très enervé. Un jour ma mère m'a réveillé de bonne heure et m'a dit qu'on allait à un mariage, elle m'a dit d'embrasser très fort mon père et ma grand mère, c'est ce que j'ai fait et nous somme partie.
On arriva au port d'Alger, je ne comprennais pas très bien pourquoi on se trouvaient ici. Mais elle m'a pris dans un coin et m'a regardé dans les yeux.

Ecoute ma chérie, si je fais ça c'est pour ton bien, on va pas aller à un mariage mais on va aller en France, papa ne viendra pas avec nous, tu sera bien mieux en France qu'ici à trainer dans les rues et à ne pas aller à l'école. Il faut que tu me promette d'être très sage et de ne pas être turbulante.

Mon père travaillé dans l'armée avant et i létait plutôt haut gardé et conaissait beaucoup de monde au port, il fallait qu'on se fasse les plus discrétes possible. Pour que personne ne nous reconessent on est résté enfermée dans les toilettes, le bateau avait 4 heure de retard. Vers les 17h une dame est venu nous chercher, elle devait me faire passer sans l'autorisation paternelle de sortie du téritoire. C'était chose très risquée, si ma mère se faisait prendre elle risquait très gros.
On est monté dans le beauteau, durant les 24h du voyage on est résté enfermés dans la cabine et on n'est sortie que pour prendre nos repas.
Vers 15h le lendemain on était arrivés à Marseille. C'est fou comme cette ville ressemblait à Alger, j'en suis tombé amoureuse dés le premier regard. C'était une ville ouverte grace au port. Un mélange de cultures et de personnes en tout genre se faisait ressentir. C'était une ville très acceuillante, je m'y suis sentie chez moi dés le premier pas posé sur le sol. Les gens était très gentil. Tout en allant vers l'hotel nous avons visités la ville. On est d'abord passé par le vieux port, mon soufle fut coupé à la vu d'un si beau paysage, les couleurs blanche et bleu ciel de la mer et du ciel étaient d'une telle beauté que qui conque les regardaient ne pouvais être que abasourdis. Je réspirais à pleins poumons l'audeur salée que dégagait cette étendu de mer.
Nous sommes ensuite allée sur le bord de plage, nous avons hoté nos chaussure et marché dans le sable chaud du mois de juillet, je fut choqué de voir des femmes si dénudés surtout les seins en l'air, en Algérie si une femme osait se mettre ainsi ça risquait de très mal aller pour sa réputation. Ma mère me disait que je m'y ferais très vite et qu'à présent je commencé une nouvelle vie.
Nous arrivâmes à l'hotel, ou plutôt un apart hotel qu enous avons occupé durant 1 mois. Ma mère travaillé la plus part du temps comme secrétaire. Son salair était plutôt médiocre mais ça nous suffisait pour vivre. Une amie d'enfance à elle implantée à Marseille pendant que ma mère travaillé.
Vers le mois de septembre ma mère avait eu assez d'argent pour pouvoir nous louer un petit apartement T2, j'avais enfin ma propore chambre et elle dormais dans le salon. J'avais plutôt une belle vie mais du haut de mes 7 ans je ne comprennait pas pourquoi mon père n'était pas là. Il me manquait terriblement, chaque soir je m'endormais en pleurant devant le seul souvenir qu'il me restais de lui: la photo de mariage de mes parents. A cette époque là ils s'aimaient et était épérdument fou amoureux l'un de l'autre.

La place d'un père, la place d'une mère dans une famille
La place de deux êtres chers censés s'aimer pour la vie
Unis par leur volonté, par les sentiments en commun
Simplement réunis, on craint rien
Enfin c'est c' qu'on dit mais pas toujours c' qu'on voit
J'ai demander pourquoi, on m'a répondu c'est la vie
Puis-je donner mon avis? Faut qu' j' reste en dehors de ça
Quand l'amour s' transforme en haine et qu'on s' déchire devant moi
Voila ce qu'il en est, et c' n'est pas autrement
Comprend tant d'angoument pour l'histoire de mes tourments
Le temps évolue, j'ai fait face aux soucis, j'ai grandi
Maman est là, mais papa est parti et la j'ai compris
Qu' t'as préféré tourner la page
J'étais pas du voyage, dire qu' j' te croyais au paradis
Vu qu' l'alcool fait des ravages
Tu t'es pas rattrapé et sans même te retourner
J' t'ai vu t'éloigner du rivage
Et s' tu as ta vie merdique j'en sais trop rien
Dev'nu alcoolique et tu fais du mal aux tiens
Combien de fois tu l'a vexer, combien de fois t'étais pas la
Combien de bleus sur ses bras, car quand on aime on n' compte pas

Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout est devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

Oh papa, si j'avais j' t'aurais dit
Non ne pars pas!
J'étais trop p'tit pour comprendre
J'ai dû grandir sans toi
Même si mama c'est bien occupée d' moi
Il me manquait un repère, un père derrière moi
J'fermais les yeux et j'imaginais ton visage,
J'savais juste que t'étais noir vu mon métissage
A l'école on m' demandait
Ton papa il fait quoi?
Les autres se marraient quand moi je ne répondais pas
Le jour ou j' suis tombé sur cette photo de mariage
Le puzzle de ma vie a commencé son assemblage
J'ai enfin su à quoi tu ressemblais
Impossible d'expliquer l'effet qu' ça m'a fait
1990 le téléphone sonne
Après l'orage le soleil rayonne
Mama m'appelle et m' dit quelqu'un veut t' parler
J'ai juste entendu allo j'ai compris qui c'était
Quelques semaines plus tard te voilà devant moi
Est ce la réalité ou s' rêve que j' vis à chaque fois
T'es resté 8 ans puis t'es r'parti
T'es retourné au pays

Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout est devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

A la suite de ton départ
J'ai dû m' faire une raison
Quand elle a dit au grand frère,
Maintenant t'es l'homme de la maison
Elle si fière dev'nue la cause de mes souffrances
Devant nous l'air de rien, mais qui pleurait en silence
J'aimerais plus t'en vouloir, à l'inverse de mon coeur
Une rancoeur intérieure d'avoir juste un géniteur
A toute personne délaissée, sans présence de darons
Divorcée ou décédées, qu'ont juste hérité d'un nom

Oh papa! J'ai mis 4 ans pour effacer ma rancune
Un père on en a qu'un une mère on n'en a qu'une
J'ai ranger ma fierté, j' t'ai rejoins là-bas
Les larmes ont coulées quand tu m'as pris dans tes bras
Moi j' l'ai r'trouvé, d'autres ont pas eu cette chance
J'leur dédie ce morceau et partage leur souffrance
Ceux victimes d'un abandon, d'un divorce ou d'un décès
Ceux qui vivent avec le coeur brisé


Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Tout es devenu si noir
Tu es parti
Sans même que l'on ne puisse te dire au revoir
Au fond d' mon coeur
Il reste encore un espoir

Merci, je suis contente qu'elle vous plaise elle me tient vraiment à coeur cette fic.


Je ne voulais pas faire de peinne à ma mère et lui dire le vide que je ressentais sans la présence de mon père.

On commencaient à peinne à prendre nos repères que la rentrée scolaire arirvait. Je n'étais jamais allée à l'école au paravant je ne savais ni lire ni écrire le français mais je le parlait très bien.
Ma première rentré fut à jamais gravée dans ma mémoire, c'était la première fois que je voyait autant d'enfants d'un coup. Timide comme j'étais j'ai préféré me faire la plus petite possible. C'est ce jour là où j'ai rencontré une fille avec qui j'ai beaucoup sympatisé et avec qui je suis devenue très proche, elle s'appellait Jennifer, le filing entre nous est tout de suite passé et on est devenue inséparable. On aurait dit des soeurs jumelles séparée à la naissance qui se retrouvéaient après quelques année de séparation.
Jenny m'a beaucoup aidée durant toutes mes années de galéres et de déprimes, à chaque fois elle était présente pour moi. Je m'entendais également à merveille avec sa mère. C'était une femme posée et épanouie. La famille était ma seconde famille, je restais des journées avec eux, sa comblait un peut le vide que j'avais en moi.

A partir de là c'est inventé

7 années on passées, je rentrais dans ma dernière année de collége. J'étais en pleins dans mon adoléscence, mais à partir de cette année un chute vertigineuse commencea pour moi.
Ma mère avait trouvé un boulot de commercial qui payait plutôt bien. On avait put s'acheter une petite maison et elle gagné bien àa vie. De mon côté j'étais dans une école privée avec Jenny. Ma mère n'avait pas rencontré d'homme encore et ça m'arrengait plutôt bien. Je prennait très mal l'idée selons la quelle ma mère puisse rencontrer quelqu'un d'autre et que cette personne puisse prendre le rôle de mon père. Parlons en de mon père, j'avais pas de nouvelles de lui depuis le jour où je suis partie, ma mère lui avait téléponé une fois en lui disant qu'il ne me reverrais jamais. Inutile de vous dire qu'il l'avait mal pris, il a même menacé de la tuer si jamais il la retrouvait. J'avais entendu toute la conversation mais n'en avait jamais parlé avec ma mère. D'autre part les grand-parents maternels avaient pris le parti de mon père. Impossible pour ma mère et moi de revoir mon grand frère qui étaient toujours avec mes grand parents. Personnes ne savaient où on étaient. J'en voulait beaucoup à mon père d'avoir rejetter ma mère comme ça du jour en lendemin, je le détestait par dessus tout mais en même temps son abscence me faisait ennormément souffrir. Je détestait aussi ma mère de m'avoir "volée" à son père de cette façon, à cause d'elle je ne l'avais plus revue et je ne le reverrais surement jamais avec ma majorité. Je déstesté les gens que je voyait heureux dans la rue, leur bonheur me donné envie de hurler et de me planter un couteau dans le coeur. Pourquoi étaient-ils heureux alors que moi non ? Pourquoi je n'avais pas le droit au baiser du soir de mes deux parents réunis ? Qu'avais-je fais pour mérité ça ? Ma foie en Dieu diminuait à toute allure. Etais-je la cause du divorce de mes parents ? Peut être que si je n'aurait pas était là ils s'aimeraient encore et seraient bien pus heureux. L'envie de suicide ne quittait pas mon éspris, je voulais partir, laisser échapper ma peinne, oublier tous ces jours passés à pleurer, oublier toutes ces années passées. Mais heuresement que Jenny était là pour me remonté le moral.
Ses sombres pensaient hantaient mon éspris, je voulais faire tout pour me détruire, alors j'ai commencer par ne plus travailler en cours. D'habitude j'étais une élève califiée de brillante, je voulais devenir médecin pour pouvoir aider ceux qui en avaient besoin.
Les raports entre ma mère et moi devenaient de plus en plus difficile. Je trainait dans les rues après la sortie de l'école pour passer le moins de temps avec elle. J'avais beaucoup de potes garçon, je trouvaient qu'il me comprennaient mieux que les filles. Seulement ils fumaient, tous et je fut tentée d'essayer. Après le premier joint fumé j'ai pas put m'arrêter, un un peut essayer de tout: Shit, tabac, canabis.... Malheuresement Jenny devait mentir pour moi, je sortait le soir et elle disait à ma mère que j'étais chez elle. Je m'en veut terriblement de l'avoir méler à mes histoires.

La crise avec ma mère s'intensifia lorqu'elle ramena un homme à la maison. Au début elle m'avait dit d'être ce soir là pour le dinier car un collégue de travail devait venir diner. Ne voulant pas intensifier la crise entre nous je suis rentrée chez moi à peine sortit du collège J'ai aidé ma mère à préparer le diner et à poser la table. Ca fesait pas mal de temps qu'on avait plus fait ça et sa me manqué. Au menu se soir pâte à la bolognaise, un vrai régal j'adoré ça. Vers 20h30 l'invité arrivé, je l'ai acceuillit comme une bonne petite fifille ferait et l'ai convié au salon pour prendre l'apéro. Il était très sympatique et du genre déconneur, il m'avait fais bien rire. Nous sommes passé à table et avons entamé le repas lorsque le petit conte de fées toucha à sa fin. Ma mère m'annonca qu'elle avait quelque chos eà me dire. La bouche pleine de pate je lui fit un signe de la tête pour lui dire que j'étais à son écoute.

Ma chèrie depuis plus de trois mois je suis avec Romain et nous avons décidé qu'il viendrait habité avec nous. C'est pas une super bonne idée ?

Je les regardait bouche bée, j'ai recraché les pates dans mon assiéte, l'ai prise dans mes mains et la balancé à la figure du monsieur.

Ne comprenant rien à ce qui venait de lui arriver il ne dit pas un mot. Comment pouvait-elle me faire ça ? Ammener ce parfait inconnu chez nous et me le présenté comme mon beau père. Je ne voulais pas qu'il prenne la place de mon père. De quel droit vennait-il s'infiltré dans nos vies comme un virus non désiré. Il ne savait rien de moi, je ne savais rien de lui. Je ne voulais pas de cet inconnu chez moi.

Tu te fou de ma geu**, mais put*** qui s'est lui pour qu'il tape l'incruste comme ça. Allez tous les deux vous faire fout***.Ma pauvre t'a pété les plombs, je te déteste, j'en ai ras le c** de toi et toutes tes conn****...

Avant que je n'eu fini ma phrase, la plus grosse et la plus douloureuse de toutes les giffles se posa sur ma joue tel un poignard qu'on m'enfoncé dans le ventre. J'ai monté les marches de l'éscalier deux à deux pour rejoindre ma chambre, que j'ai verouillé à clef. Je ne sais pas comment la soirée s'est achevée, pendant le reste du temps j'ai préparé mon sac, mis tout ce dont j'avais besoin, pris le reste d'argent qui me restait, 100€ ça me permettrais de manger quelques jours, pour le reste on verra. J'ai attendu que l'inconnu soit partit, ma mère couchée et la maison scilencieuse sortir de ma chambre. Je dessendais les marche avec la legerté et la rapidité d'un chat. Ouvert le verrou de la porte. Un dernier coup d'oeil vers cet endroit dépourvu de bonheur.

Me voila a présent dans la rue. La lune est pleines, pour la première fois depuis longtemps les étoiles brillent. Il ne fais pas froid mais le mistral souffle. Je ferme ma veste pour aporter un peut plus de chaleur. Où vais-je allé à présent ? Je n'y avais pas pensé. Chez Jenny ? Non sa mère préviendrait la mienne. Il fais si noir, j'ai si peur mais je ne peux pas retourné en arrière, je ne pourrais plus jamais regarder ma mère dans les yeux. Je me dirige vers le bord de plage. Je m'assoie sur le sable frai, pose ma tête sur mon sac. Le reflet de la lune brille sur l'eau, à combien doit-elle être à cette heure si ? 15° peut être, un peut moins qui sait. Un peut plus loin je vois les rochers, les vagues se cognent dessus, l'écume est manifique, je n'avais jamais pris le temps de les regarder si bien. Combien de personnes sont mortes dans cet endroit ? Combien d'âme solitaire et triste se sont jettées pour tourver la paix eternelle ? Le bruit des vagues me berce, les yeux se ferment peut à peut... Demai nsera un autre jour.

Le lendemain je me levais au premiers rayon du soleil. Je me sentais bien sur le sable frai et je respirais l'odeur salée de la mer à pleins poumons. Peut à peut les gens sortaient doucement de leur someil. Celui de ma mère ne devait pas encore être achevé, elle ne devait en aucun cas se douter que sa petite tête blonde était déséspéré sur une plage solitaire. Il fallait que je parte d'ici, trop de gens me conaissaient, ma mère viendrait surment ici, elle savait que j'adorais me réfugier ici et me perdre dans mes pensées quand ça n'allait pas. D'autre part mon ventre criait famine, il fallait que je mange quelque chose ou sinon je risquais de m'évanouir sur le champs. Je me suis dirigé vers la snack le plus proche quand j'ai une table plus loin un mec que je conaissait et qui était de 5 ans mon ainé. Il m'a tout de suite reconn uet s'est dirigé vers moi, c'était un gars du genre racaille presque toujours avec sa bande de pote, ce mec on le surnomé le rebeu des bois, il était tout le temps entrin de "mettre à l'amende" des choses mais c'était pas pour donner aux pauvres. Je délirais bien avec lui, il était super charmant, brun yeux verts, grand.

-Salut Shé tu fou quoi ici ? c'est pas ta zone
-C'est pas la tienne non plus crétain.
-T'a emmener ton frigo avec toi ? dit-il en désignant mon sac.
-Non juste quelques affaires je vais squatter chez une amie.
-Ca va arrête tes conneries tu me la fais pa sà moi, tu vas tu marrier avec ta copine pour avoir pris autant d'affaires ? Dis moi tout simplement que tu t'es cassé de chez toi et basta...
-Ta geu** un peut, je t'ai pas demander de me raconter ta life non plus.
-Moin de graine minotte, tu veux bouffer un truc ?
-Si c'est toi qui paie j'suis ok
-Crocante vas.

Il m'emmena bouffer un truc à Tablapizza (mdr), en même temps qu'on mangeait je lui ai un peut raconté pourquoi j'étais partie sans rentrer dans les détails, je lui avait juste dit que mes parents avaient divorcée et que ma mère à ramené un nouveau gars. Sympa comme il était il avait proposé de m'heberger chez lui quelques temps en attendant que ça s'arrenge. Il vivait avec son daron qui était parti pour une semaine. Au départ j'étais pas trop pour, je le conaissait pas super bien ce gars même si il me paraissait très sympa mais je ne savais pas où aller et l'indée de passer d'autres nuits comme celle-ci avec l'hiver qui approche ne me tentais pas tellement. J'ai finalement accéptée sa proposition.

Je suis réstée une semaine chez Karim, il a a était très correct envers moi, m'a acceuilli comme sa petite soeur. Il se doutais que je n'étais pas partie juste parce que ma mère avait rencontré un nouvel homme. Un soir j'ai craqué je lui ai tout raconté. J'avais besoin d'une oreille qui m'écoute et non aps de quelqu'un qui me donne des conseil. C'est ce qu'il a fais, j'ai pleuré, il m'a laissé parler sans dire un mot. J'avais pleuré dans ses bras une bonne partie de la nuit et j'avais fini par m'endormir près de lui, comme j'avais autre fois l'habitude de le faire avec mon frère. Au petit matin il m'apporta mon petit déjeuner au lit, un régal, croissant, jus d'orange frai qui vennait dêtre pressé le tout sur un plateau avec une jolie rose dessus.
Comme le dis un proverbe la nuit porte conseil, parler de mon histoire à Karim m'avait fait le plus grand bien.

-Tu sais j'ai pensé que ça serait bien que je retourne chez ma daronne.
-Ah ça fais zézir de t'entendre dire ça,elle doit être morte d'inquiètude, une semaine sans nouvelle ça dois être dur pour elle.

C'est ainsi que le soir même je suis rentrée chez moi, j'ai sonné trois coups avant que quelqu'un vienne m'ouvrir, horrifiée j'ai vu que c'était Romain. Il me dévisagea de la tête aux pieds.

-Où tu étais ? Nom de Dieu ça fais une semaine qu'o nte chercher partout ta mère est morte d'inquiètude.
-Qu'est-ce que tu fou là toi ?
-Me parle pas sur ce ton petit arrogante.
-J'te parle comme je veux t'es pas mon père.
-Justement à partir de maintenant je le deviendrais ta grand besoin qu'on refasse ton éducation.
-Ta ge*** casses toi de chez moi, tu te prends pour qui enfoi**.

Vlan , et voila une autre giffle qui vennait d'atérir sur ma joue, ma mère apparu à ce moment là. Je ne l'avais jamais vu dans un tel état, elle avait les yeux cérnés et rougis par les larmes. Je la regardé un instant avant de porter mon regard vers Romain.

-Jamais de la vie je me ferais éducter par un homme comme toi, sale français de mes deux.
-File dans ta chambre tout de suite.
-Pas besoin de me le dire deux fois, j'ai pas envie de voir ta sale ganache plus longtemps.
-On a fais quelques changements dans ta chambre, plus de télé, plus de chaine hifi, plus d'ordinateur, plus de portable. Tu rentrera directement des cours et tu feras tes devoirs, plus de copain copine au telephone.

Je montais furieuse les marches deux à deux. Une chose était sûre il était pas né de la dernière pluie celui qui allait me faire changer mon comportement. Pour qui se prennait-il ? Il crois que je suis sa fille pour qu'il me mette une giffle ? Il allait le payer très cher, comme on dit la vengance est un plat qui se mange froid. Je vais lui mener la vie dur car jusqu'a preuve du contraire il était chez moi et pas l'inverse.

J'ai passé toute la nuit à réfléchir au meilleur moyen de lui rendre la vie impossible. Et par dessus le marché mes ennuies continuait, le lendemain il fallait que je retourne en cours et ça serait le jour de mon dernier conseil de classe de l'année, c'était le redoublement assuré. Ca m'arrengeait bien de redoubler, j'avais encore une année pour penser à mon orientation, jusqu'a là je n'avais pas de rêve concret, bien sûre je voulais toujours être médecin mais il fallait se rendre à l'évidance ça serait impossible vu l'état catastrophique de mes notes.

J'ai fini par m'endormir et je me suis réveillée le lendemain matin très tôt. J'ai pris mon petit déjeuner toute seule, à l'étage ma mère et l'imposteur dormais encore. Je ne voulais absolument pas le voir, ça risquait de partir en sucette si j'aprecevait encore une parcelle de sa tronche.

Au collége les questions ont fusées, je me suis trouvée une excuse bidon comme quoi j'ai était malade, seuls certains de mes professeurs savaient que j'avais fuguée. A la sortie des cours j'ai retrouvée Karim, i la était ravi de voir que j'allait bien et je lu iai raconté ce qu'il s'est passé avec mon beau père.

-Et ben ! c'est joyeux l'ambiance chez toi. Il te touche d'un poil je le défonce à lui. Surtout n'hésite pas à me le dire ou mieux encore si il te dit le moindre truc tu lu irentre dedant tête béssée.
-T'inquiète j'ai pas l'intention de me laisser faire.

Je suis rentrée chez moi à 21h, oups ! j'avais oublié qu'il fallait que je rentre tout de suite après les cours, quelle étourdie je suis parfois. Ma mère n'était pas encore rentrée elle allait diner chez des collégues mais l'autre il était malheuresement là. Ce soir là le moment le plus dure de ma vie allait débuter.
Pour commencer il se mit à crier, très fort, puis il a pris une ceinture et a commencer à me frapper. Impossible de me défendre, je hurlais comme jamais, j'avais affreuseent mal. Pour continuer il m'a pris par les cheveux et m'a entréner au premier étage, dans ma chambre, là il m'a allongé sur le lit il a tennu mes poignés d'une main et m'a désabillée de l'autre. Les larmes ruisselaient sur mon visage, je hurlait pour que quelqu'un m'entende et vienne à mon secourt. Je priait le ciel pour que ma mère arrive et me vienne en aide. N'y avait-il donc aucune divinité pour laisser faire ça ? Il commenca à me pénétrer, tout en me donnant des coups plus forts les uns que les autres, l'espace d'une seconde j'avais réussis à attraper une de ses main avec ma bouche et l'ai mordue très fort, à ce momant là il passa ses deux main sur mon cou et serra très fort. J'étouffais, je sentais que tout allaer finir pour moi se soir, de toute façon je préfairais mourir que de rester en vie avec ce souvenir. Mais je m'étais trompé, après avoir pris son pied il s'ota de moi, là il me dit que si je le répétait à quelqu'un il me turais et que de toute façon personne ne me croirait. Personne ne pourrait croire une fille de mon éspère. Il me laissa tremblante et nue en me traitant de putain, et partit je ne sais où.

Je n'ai pas fermer l'oeil de la nuit, vers les 23h j'ai entendu ma mère rentrer. Pourquoi n'était-elle jamais là quand j'avais besoin d'elle ? A ce moment précis je le haissais plus que jamais. J'ai attendu le lendemain matin, un fois que tout le monde était partit pour sortir de ma chambre. Je me sentais sale et impure. Je n'imaginais pas ma première fois comme ça, moi qui rêver de faire l'amour avec quelqu'un qui m'aime et que ça soit très romantique... Les larmes perlaient encore sur mon visage, ma gorge était nouée, j'arrivais à peine à alaver ma salive, je ressentais encore l'étreinte de ses mains autour de ma gorge. Je le ressentais encore sur moi me tabassant de coups tous plus forts les uns que les autres. J'ai jetter un leger coup d'oeil sur mon reflet dans le miroir. J'avais les cheveux entremêler de tous els côtés, ma bouche seignait abondanément, un cocard commencer à se former autour de mon oeil gauche, Mon corps était recouverts de bleus. Le moins que l'on puisse dire c'est que je n'avais pas fière allure. A ce moment là mon portable sonna, je m'avançait avec difficulté et j'ai décroché d'une main tremblante. Karim à l'autre bout du fil.

-La p'tite puce c'est Rim-K tu vas bien ? Pourquoi t'es pas allé en cours ce matin ?
-Ouais ouais ça va juste un peut malade, ai-je réussit a articulier avec beaucou pde difficulté.
-T'es sûre ?
-Oui puisque que je te le dis !
-Ok, au fait t'as récupéré ton portable ? Il te l'avait pas confisqué l'autre ?
-Ouais mais il l'a pas eteint ça fais que quand tu m'as appeler je l'ai trouvé.
-Qu'il est c**, bon l'algerino je te laisse, je viens te chercher demain à la sortie des cours.
-Ok bye
-Bisous

Pour moi il n'y aura pas de demain, c'était surment la dernière fois que je parlait à Karim. Je me dirigeait vers la pharmacie. Là je pris tous les comprimés et pillules que j'ai put trouvé. Un verre d'eau à côté de moi j'ai commencer à les engloutir. D'abord une par une, puis ensuite j'en prennait des poignée. Il n'en restait bientôt plus. Au bout d'un petit moment je me suis sentie mal mais ça ne m'a pas empêchée de continuer puis le verre m'a glissé des mains, il s'est brisé en mille morceaux en un bruit sourd. Mes jambes ne suportaient plus mon poids, en l'éspace d'une demi seconde je me suis écrouler par terre, ma tête a lourdement frappé le sol. J'ai attrapé un morceau de verre et l'ai approché de mon poignet. Il fallait que je finisse ce que j'avais commencer. Là j'ai commencer à m'ouvrir. Le sang à commencer à dégouliner autour ne mon bras. Mes popières sont devenues lourdes, mes yeux se sont fermé.
Là sur le sol de la cuisine je beignais dans mon sang, mon poignet ruisselait. Entre la douleur, la tristesse et le déséspoire, la vie s'échappait de mon corps. Je me sentais légére, je sentais mon âme monter au ciel. Je mourrais.Une lumière blanche... Voila la mort.

La lumière blance est de plus en plus forte. J'ouvre les paupières peut à peut. En face de moi se tient debout ma mère en larmes, à ses côtés Romain. Je regarde autour de moi, je suis allongée sur un lit , des perfusions pendent de mes poignets. A mon poigné droit un épais badage. Un médecin rentre dans la chambre.

-A vous êtes réveillé !
-Où je suis ?
-A l'hopital, vous vennez de sortir d'un profond coma.
-Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
-Vous ne vous en souvenez pas ?
-Non enfin si mais ensuite ?
-Votre mère vous a trouvé à temps pour qu'on puisse vous maintenir en vie encore quelques minutes et c'était fichu.
-On est quel jour ? Je suis réstée longtemps ici ?
-On est le 17 Juillet, vous êtes rester 16 jours dans le coma. Comment vous sentez-vous jeune fille ?
-D'abord moi c'est tu, j'ai mal, surtout au poignet.
-C'est le prix a payer quand on essaie de mettre fin à ses jours.

Peut à peut les souvenir me revenaient, les coups de la veille, le viol, les médicament, le verre. Je regardait un instant Romain dans les yeux, il mis son doigt devant la bouche pour me dire de me taire et le passa ensuite tout le long de sa gorge. C'était clair, si je parlais il me tuait.

-On a fait quelques analyses, et o na découvet quelque chose d'êtrange. As-tu eu des rapports sexuels ses derniers temps ?
-Je comprends pas là, où vous voulez en venir ?
-Et bien tu est enceinte jeune fille et on ne sais par quel miracle le bébé a survécu.

Je ne comprenait pas très bien puis tout à coup tout est devenu plus clair. J'avais un enfant de Romain. Pourquoi ne suis-je pas morte ? Pourquoi le bébé à survecu ? Pourquoi tout cela m'arrivait ? Ma mère s'écroula à terre. Le médecin sorti et nous laissa tous les trois. Je n'en coroyais pas mes oreille. J'avais toujours rêver d'avoir un enfant. Mais pas maintenant, pas dans ses circonstances, par avec lui. Les larmes inondérent mes yeux, tout était flou autour de moi.

-Et bien t'as bien fait ton coup ma petite, ne vois-tu pas que tu fais souffri ta mère ? Tu n'es qu'une trainée, on aura tout vu avec toi.

Non je n'allais pas me laisser faire, j'avais assez de caractère pour tout raconter, je n'avais pas peur de lui. Surment d'autres n'auraient rien dit mais j'avais u ntel désire de vengence et un tel désire de faire mes preuves que j'aurais pût le crier à la terre entière. Oui je m'étais faite violer par cet homme qui en ce momant même m'insulté. Oui l'enfent que je portais était de lui. Non je n'allais pas avorter, je n'allais pas lui donner cette satisfaction, je ne pouvais pas tuer un être sans défence. Même si j'étais trop jeune, même si si ce n'était pas un enfant qui allait naître d'un amour. Même si toutes ses conditions se réunissaient je n'allais pas avorter. Ma décision était prise, personne ne pourrait me faire changer d'avis.
Après quelques semaines passé à l'hopital je n'avais toujorus rien osée dire, parler n'était pas si facile que ça. Je refusais de voir ma mère, je refusais de le voir lui. Qu'avait-il fait à ma mère pour la changer ainsi ? Ne voyait-elle pas sa vraie personnalité ? Ce n'était surment pas de sa faute, l'amour rends aveugle à ce qu'on dit. Elle n'aurait jamais laisser faire ça. Je la connais, elle avait remuer ciel et terre pour que je puisse vivre dignement, elle avait combattu mon père. Je l'avais décu, je le savais. Mais j'allais me racheter. Etre passé si près de la mort m'avait permis d'ouvrir les yeux. Je serais la fille dont elle avait toujours rêver.
Mais la chose ne fut pas si simple qu'elle paraissait, tout d'abord on allait me palacer dans un centre qui m'aiderait à retrouver goût à la vie. Je me retrouvais autour de pleins de jeune qui comme moi avaient essayer de mettre fin à leurs jours. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Aucun de nous ne voulais en parler.
Mon ventre grossisait de jours en jours, j'était à mon 3eme mois de grosesse. J'avais peut à peut renouer les liens avec ma mère. Elle vennait souvent me rendre visite on passait des journées ensembles.
Je n'avais toujours pas parlé quand à mon viol. Un beau jour je me suis décidé à le faire, pour prouver à ma mètre que je n'étais pa sune trainée et que je ne m'étais pas donnée au premier venu. Je suis allée voir l'assistante social du centre et je lui ai tout expliquer. Tout de suite elle a entamé une procédure judiciaire. Heuresement ma mère m'a tout de suite cru, elle s'est immédiatement séparée de Romain. Elle m'a soutenu durant tous ces moments sans jamais douter de moi. Je ne la remercirais pas autant. Malgrès les apparences ça n'allait pas si bien que ça, il me restais comme un vide à l'interieur de moi. Peut à peut mes idées noires on commencaient à réaparaitre. Les blessures ne se gérissent pas aussi vite. Romain avait juré que quand il sortirait de prison j'aurais affaire à lui. Qu'une petite gar** de mon genre n'allait pas lui fouttre sa vie en l'air. J'avais peur.
Je voyais Karim quelques fois, il était très gentil avaec moi, il m'a soutenu dans n'importe quel moments. Il m'a juré de m'aider à élever mon enfant. Mais celà ne suffisait pas, je me sentais horriblement mal. Je ne mangeais plus, je ne parlais plus, je restée enfermée et repliée sur moi même. Mon seul moyen de communication était mon ordinateur, je restais des heures à parler avec des personnes inconnus. Je me sentais plus libre avec eux, je n'étais pas ce que je suis en réalité. Puis un beau jour j'ai appris q'un encien membre d'un groupe de télé réalité s'était lancé dans une carrière solo. Très mignon, un joli blond avec de magnifique yeux bleus à vous en couper le souffle. Son nom de scène me parru pizarre au début: Matt Pokora. Mais ça lui collait bien.

J'ai commencer à faire de plus en plus de recherches sur Matt. Je susi allé visiter des sites de fans, un me plaisait en particulier, je me suis inscrite sur leur forum et j'ai commencer à discuter avec de nombreux fans.
La vie recommençait à rennaître en moi de plus en plus grâce à Matt et sa musique. Je ne broyais plus du noir comme avant. J'en était à mon 8eme mois de grossésse, après avoir accouché j'aurais l'autorisatio nde rentrer chez moi.
Un jour l'une des fans me donna l'adresse du fan club officiel de Matt. Je voulais lui envoyer une lettre pour le remercier de tout ce qu'il avait fait inconsciament, pour lui dire à quel point il comptait pour moi et l'encourager dans sa carrière. Je me suis décidée à lui envoyer la lettre suivante:

Cher Matt,
Tu dois reçevoir des centaines de lettres de fans et cela prouve à quel point tu compte pour nous. Pour moi en particulier. Grâce à toi j'ai retrouver goût à la vie. Grâce à toi j'ai eu la force de me battre. Tu as chassé toutes mes idées noires et je ne t'en remercirais jamais assez. Tu ne peux pas t'immaginer à quel point tu es important pour moi. Sans toi je n'aurais pas eu la force de me battre. Vois tu j'ai eu plusieurs épreuves douloureuses dans ma vie, je ne vais pas m'étaller sur ce sujet car encore aujourd'hui j'ai du mal à en parler. Sache juste que je vais appeller mon fils comme toi: Matthieu. J'ai toujours beaucoup aimé ce prénom, et encore plus maintenant que je t'ai découvert. J'éspére que mon enfant aura les même calitées que toi, le même sourire et la même gentillesse. Vois-tu je suis une jeune maman qui vient à peine de fêter ses 15 ans et c'est très difficile de porter un bébé à cet âge là, mais ce bébé m'a permis de reprendre confiance en moi et de devenir plus adulte. J'éspére qu'il te ressemblera et qu'il aura quelques unes de tes qualités. D'autre part je te souhaite bonne chance pour la suite de ta carrière. Continue à nous mettre des étoiles pleins les yeux et à nous faire rêver ainsi.
Merci pour tout ce que tu as déjà fait. Tu es notre rayon de soleil.
Shéhérazade, Marseille

J'ai joint à ma lettre mon adresse ainsi qu'une envellope timbrée. On ne sais jamais peut être répondrait-il. Les semaines ont passé mais je n'avais toujours pas eu de réponse, tampis, de toute façons je ne m'attendais pas à une réponse. Bon j'avoue j'éspérais un peut quand même.
Je rentrais à présents dans mon 9eme mois, le bébé était pour très bientôt. J'appréhendais plus que tout ce moment là. Finalement ça s'est très bien passé. Bien sûre j'ai beaucoup souffert mais au finale ça n'a était que du bonheur.
Mon petit Matthieu est né le 17 Avril. C'était un très beau bébé. Si vous l'auriez vous, il était à croquer. Karim et ma mère étaient là pendant mon accouchement. Karim ne m'a pas laché la main une seconde, d'ailleur on voit la trace de mes ongles dessus. Je m'étais beaucoup rapproché de Karim, il me protégait comme le ferait surment mon grand frère. Il le remplaçait un peut. Mais je m'étais promis de le retrouver et qu'un jour notre famille serait de nouveau réunis.
Avec ma mère ça allait de mieux en mieux au fil des jours, j'avais arrêter toutes mes bétises, et cette épreuve nous à rapproché. Merci à mes deux Matthieu.
Ah en parlant de Matt j'eu une agréable surprise un jour en allant chercher le courrier à la boîte aux lettres. Vous devinez ce que c'est je suppose...

Et oui vous avez deviner, une lettre de Matt. Voila ce qu'elle disait:

Chère Shéhérazade,
J'ai étais très profondément touché par ta lettre. Je suis ravi d'apprendre que aujourd'hui pour toi tout se passe bien. Ta lettre m'a beaucoup emu, sans déconner. J'éspére que tout se passe pour le mieux dans ta vie, et que tu es heurese à présent. Je viens faire un petit tour à Marseille dans deux semaines. Je dois enregistré une emission pour NRJ le 22 vers 16h, j'éspère t'y voir toi et ton fils. Je m'excuse pour le temps que j'ai mis à répondre, mais mon emploit du temps est très charger, on est en pleins dans la promo de Showbiz et Elle me contrôle va pas tarder à sortir.
Je t'embrasse très fort. Garde le cap.
Que Dieu veille sur toi et ton fils.
Matt.

Cette lettre m'a mise de bonne humeur pour la journée. J'attendais avec impatience le 22. J'allais enfin rencontrer Matt en chair et en os.

Depuis que j'avais accouchée j'avais repris mes études. J'ai réussis à passé dans la classe superieur non sans peinnes en fiasant appel. Je me dirigeait vers un CAP stylisme. L'idée de dessiner et de crée des vêtement me motiver, un jour peut être je serais embauchée dans une grande maison de la mode style Chanel et Jean Paul Gautier... Je sais que je vise haut mais il faut toujours croire en ses rêve, du moins c'est ce qu'on m'a toujours dit. Le seul problème était que ma mère devait être mutée sur Paris. J'aimais ma ville et l'idée de quitter tous mes amis et mes proches ne m'enchantaient guère. Je devais d'abord finir mon année scolaire et puis enseuite nous partirions. J'appréhendais déjà maintenant les aurevoirs.

Le 22 est arrivé à grand pas. A 15h j'étais devant les studios d'NRJ avec Karim et mon p'tit bou de chou dans la poussette.

-Arrête de stresser comme ça ça m'ennerve. Tout va bien se passer tu verra, c'est pas comme si tu te présentais un à taff.
-Parle mais ça se voit que tu ne sais pas ce que je ressent ce mec i lest tout pour moi, sans lui je sais pas ce que je serais devenue.... et sans toi aussi bien sûre.
-Ouais mais arrête tu m'ennerves.
-Ta ge***

Matt est arrivé, nous n'étions que 5 fans. Il est passé devant moi avec un sourire radieu et est entré dans la cabine.
L'émission à durée 1 demi heure. Quand il en est sorti, il s'est approché des fans pour signer des autographes et prendre des photos. J'étais la dernière à aller le voir. J'avais confier Matthieu un instant à Karim.

-Salut Matt.
-Salut miss, tu veux un autographe ?
-Ouais je veux bien merci.
-C'est quoi ton prénom ?
-Shéhérazade !

Il me regarda un instant sans rien dire.

-T'es la fille de la lettre.
-T'as deviner.
-Ah trop content de te voir tu vas bien ?
-Ouais ça va ça va, viens je te présente quelqu'un.

Il m'a suivit et on s'est rapprochés de Karim.

-Lui c'est Karim, et le p'tit bou d'chou dans la poussette c'est Matthieu.
-Il dors comme un ange, il est trop beau, failisitations aux deux jeunes parents.

Il désigna aussi Karim.

-Ah non c'est pas lui le père, lui c'est mon meilleur pote.
-Ah oups, j'éspére que le père s'en occupe bien.
-Heu c'est à dire que c'est une longue histoire je vais pas m'attardé sur ce sujet. Je peux avoir une photo ?

Matt m'a pris dans ses bras, fallait voir la moue de Karim et on a pris une photo.

-Merci beaucoup
-Mais y a pas de quoi ! Les cours sa se passe bien ?
-Ouais ouais ça va c'est pas trop dure.
-T'es en seconde non ?
-Je fais un CAP de stylisme.
-C'est cool ça fais moi signe quand t'as ton diplome tu me dessine des fringues.
-Y a pas de problèmes.
-Bon miss j'ai le t^rain qui part bientôt, si j'arrive en retard mo nattaché de presse va me faire la morale.
-Je la comprends, faut dire que t'es pas le mec le plus ponctuel.
-Vous vous êtes donné le mot pour me faire cette remarque ou quoi ?

Après une derière photo et le plus gros calin du monde il est parti à la gare.
Je gardais des souvenirs gravé à vie dans ma mémoire de cette journée là.

Sur le chemain du retour nous nous sommes arrêter dans un pac. Il faisait plutôt bon ce jour là. Nous nous sommes assis sur un banc , j'ai posé ma tête sur l'une des épaule de Karim et j'ai fermé les yeux.

-Il te fait bien Kiffé Matt Pokora ?
- Comment ça ?
- Ben si y avait moyen tu dirais pas non.
- C'est pas qu'il est moche au contraire mais je le considére seulement comme un artiste dont je suis fan de sa musique et sa préstence, rien d'autre.
- Ah on aurait cru le contraire, t'était toute gentille toute timide avec lui, t'était loin d'être la caille que je connais habituellement.
-J'étais impressioné c'est tout, y a de quoi.

Il me redressa la tête en me prenant par le monton. Ses yeux étaient plongés dans le miens, il mecaressala joue et se rapprocha de moi tout doucement. Je me laissa faire sans dire un mot, il se rapprocha de plus en plus, il était à quelques centimètrede moi, je sentais son souffle chaud sur mon visage. Ses lévres effleurérent bientôtles mienne.... SPLASH. Quel encul** il vennait de me renverser une bouteille d'eau entière sur la tête. Il allait le payer quand on me cherche on me trouve. Derière nous se trouver un sorte depetit ruisseau qui menait à une fontaine. Sans réfléchir je le poussa, il perdit l'équilibre quelques seconde et tomba tête la première dans l'eau. Il se releva trempé de la tête aux pieds. Sans pouvoir me retenir j'éxplosa de rire.

-Ah tu trouves ça drôle ? La c** de toi mon portable est foutu.
-C'est bien fait pour toi fallait pas me chercher.
-Tu vas le payer
-Essaye et tu verras
-Heu bo no nva dire qu'on est quitte
-Ouais on va dire ça

On repris le chemain de chez moi, je poussais la poussete de Matthieu tandis que Karim tennait mon sac.

-T'es entrain de tout mouiller clochard.
-On se demandeà qui la faute. Put*** en plus j'ai pleins d'eau des les pompes c'est super désabreable.
Jele comprenanit le pauvre à chaque pas qu'il fesait un flaque d'eau se déposait avec un bruit sytle coussin péteur.

Ca fait 2 ans que Karim m'a déclaré sa flame, on peux dire que je m'y attendait un peut mais celà m'a beaucoup surpris. Nous étions avec des potes et tout à coup il m'a sorti un "Je t'aime" je vous dit pasle scilence de mort qu'il y avait après. En guise de réponse je me suis contente d'éxplosé de rire.

Le petit Matthieu va très bien, il grandit à la vitesse de l'éclair. Vous devriez le voir entrain d'essayer de chanter Showbiz avec sa casquette de travers, c'est à mourir de rire.

J'ai eu l'occasion de revoir plusieurs fois le grand Matthieu, nous nous voyons souent tous les 3. Ca me fait chaud au coeur de savoir qu'il est souvent présent pour le petit.

J'ai enterrer mes vieux démons avec mon père. Je l'ai revu il y a 6 mois et nous essayons d'avoir une relation à peut près normale. Je me suis rendu compte que la haine que j'avais envers lui était en fait de l'amour, un amour tellement fort qu'il me dégoutait. Notre longue séparation nous à permis de mieux nous retrouver. Maintenant dés que j'en ai l'occasion je repart en Algérie pour voir toute ma petite famille que j'ai laisser la bas. Mon père parlede venir aménager en France, il dit que plus rien ne le retient labas et qu'il a tout à gagner ici. Il a était très fiers quand je lui ai présenter son petit fils mais révolté quand je lui ai raconté comment. Nous avionspleuré toutela nuit ensemblequand jelu ien ai parlé. Mes deux parents ne se parlent toujours pas, mais je préfére les voir s'ignorer ainsi que s'entre tuer à longeur de journée.

J'ai aussi retrouvé mon frère....et mes neuveux. Une très grande nouvelle, lafamille s'est beaucoup agrendis et mamère est combléed'être grand mère trois fois. Le courantpasse plutôt bien avec mon frèremais il nous faut encore un peut de temps pour apprendre à nous connaitre.

Quand à moi j'habite Paris où je suis des études de stylisme. Le directeur de mon école dit que j'ai un avenir très prometteur devant moi et que si je travaille d'arache pied je pourrais faire de grandes chose. Karim et moi vivons ensembles, on éspére fondé une belle et grande famille, mais pour l'instant on se concentre sur ce qu'on a déjà.

Tout n'est pas toujours tout beau tout rose mais il faut s'avoir s'accrocher et se battre...

Ayé elle est finie la fic!!...alors je peux poster!!
*fière d'etre la 1ère* mdrrrrrr

Ben bravo juju!Toutes tes fic sont super!
Mouaaahhh!

Mouais la fin à été faite à la va vite parce que ça me gavé mais merci ma juju

Bah Jé je voulais te dire que j'ai été très touchée par ton histoire... Je sais pas si y a du vécu ou pas dans tout ca, mais sache que j'ai tout lu d'un coup cet aprem et vraiment, trop émue... (la pauvre fille qui pleure pour rien.. c'est moi... mdr) Merci pour cette superbe storie...


Gros bisous a toi miss

Une la première partie, c'est le vecu d'une amie mais le reste c'est inventé.
J'suis contente qu'elle t'ai plus

Oki miss.. merci pour ces précisions!

alala Jé tu nous a fais une storie magnifique. bravo

Marci machewi çame fait zézir

a quand la prochaine?

Au mois de Septembre, je vais l'écrire pendant les vacances, comme ça j'en ferais une bien longue

ouuuuu je sent que ça va être une super storie

Non finalement pas de story pour la rentrée, j'ai un autre projet sur une story ça va déch, enfin je l'éspére