[Fini] c'est de la folie!!

je fais une autre histoire avant d'avoir fini l'autre mdr!! bin c'est pas ma faute j'ai eus une idée!!!!

¤personnages principaux, Matt, comme d'hab' 20 ans, et Anaïs, comme d'hab', SAUF! 16ans, et marseillaise!!!
La mère d'Anaïs a une promotion et pour sa, elle doit venir habiter à Paris avec sa fille à contre-coeur. et qui dit nouvel appart' dit peut-ètre pas 2 trousseaux de clef!! donc Anaïs rentre de son nouveaux bahut, merdique, normal c'est Paris!! mdr.Anaïs et métisse(son père est algérien) et a de longs cheveux bouclé chatian clair, le contraste est bizarre, mais sa mère, Kariska, est suédoise (vive le mélange!!) et elle a de beaux yeux noir, qui ont fait craqué beaucoup de mec, et sa depuis toujours. elle ne sais pas qu'elle est la nouvelle voisine de Matt, son idole. un soir donc, elle rentre de son bahut, et sa mère n'étant pas la, elle devait l'attendre dans l'escalier. elle attend donc, et puis sa mère l'appel:

K: bin pourquoi ta pas répondu sur le fixe?
A: chui meme pas dans l'appart!!
K: mais kes' tu fous??
A: je suis bloqué dehors!
K: ah mais oui c'est vrai! désolé j'ai oublié de te dire où son les clefs!je les ai donné au voisin pour que tu puisse les récupérer!
A: a d'accord bin a toute à l'heur!!

A:¤je sonne donc chez le voisin, et quand il ouvre, je fais un bond de 1mètre de hauteur sur 1 mètre de recul!!lol

M¤ je m'ennuiais à mourir, lorsqu'on sonne à la porte. j'ouvre, et là, j'eus le souffle coupé et un frisson me parcouru le bas du ventre: une jeune fille qui devait avoir environ 16ans, de long cheveux chatain clair, de magnifiques yeux noirs, métisse, et atrocement bien roulée!!!! je me perdis dans ses yeux, mais son sursaut me "réveilla":

A:oh mon dieu!!!
M(Rires): qu'est-ce que je peux pour toi?
A: bin je viens chercher des clef que ma mère a du te laisser.
M:ah c'est toi anais?
A: oui!
M: je vais te les chercher!
A: merci...

A¤je m'appuie sur le mur, ne croyant pas à se qui se passé.
M¤ je prend les clef sur le meuble, reviens dans l'entrée, les lui tends, et fais exprès de lui éffleuré la main, elle rougit, se tourne vers sa porte, me jette un dernier regard, plutôt vers la ceinture, ris, souris, et rentre chez elle. je ferme ma porte, et là, seulement, me rend compte de la cause de son rire, j'avais une érection!! pétage de câble!! plus tard dans la soirée, j'appelle Hakim, et lui raconte tous, il se fout de ma gueule, naturellement, mais me comprend, vus la description que je lui avait fait.

M¤le lendemain, au répète, la Team se demande se que j'ai, il est vrai que je ne parle pas beaucoup, et que je me perd souvent dans mes pensées.

Davinia: ouh ouh Maaaatt!! t'es avec nous?
M: hein? ah oui dsl!
Mary: t'ess sur que sa va?
M: oui oui bien sur!
D(parlant à Hakim): tu sais pas se qu'il a, toi?
H: oh mais c'est une bonne maladie, qu'il a attrapé hier soir, à cause de la nouvelle voisine.
la Team: Rrraaa!!!!
M: merci, Hakim...!
H: mais de rien!
Mary: bon, on reprend?
la Team: oué!

¤ un semaine plus tard, je pensé toujours à Anaïs, et je me décida enfin à allez la voir. devant sa porte, je prend une grande inspiration, et je sonne. elle ouvre, elle était habiller avec une chemise noire, bien décolleté, et jean bleu foncé, ses cheveux détachés, comme d'habitude.

A: ah salut!
M: sa va?
A: oué et toi?
M: sa va!
A: tu veux rentrer?
M: oui je veux bien!
*chez elle...
A: tu veux boire quelque chose?
M: de l'eau stp.
A: je vais te chercher sa!

A¤ je me demandais bien se qu'il venais faire là, mais peu importe, il était là, c'est sa l'important! je lui donne son verre, mais ne m'assois pas, parce que je savais très bien que je ne résisteré pas à l'envie de lui faire du pied.
M¤ elle s'appuiais avec ses mains sur le bord de la table, et là, je mis ma main sur la sienne.
A¤ j'avais les yeux baissais sur sa main, ne sachant que faire, et je me tus.
M¤ je me levas, m'approcha d'elle, sans rien dire, ne lachant pas sa main,je la posa sur mon torse, la lacha, et carressa son visage.je la pris par la nuque, et l'embrassa avec la langue. sa me fit un bien fou. c'été tellement sensuel!
A¤ j'ai cru que j'allais m'évanouir! il embrassait trop bien!!!! et qu'est-ce qu'il est doux!!!!j'avais envie d'aller plus loin, et je passa ma main, dans le bas de son dos, sous son T-shirt, et la mis dans son frok.
M¤ alors avait sa main dans mon pantalon, je déboutonna sa chemise, et carressa sa poitrine. j'étais à deux doigt de l'Effet!
A¤ je l'entraina dans ma chambre,et le coucha sur mon lit.

A¤ je lui enleva son T-shirt, embrassa son torse (qu'est-ce qu'il est musclé!!mdr)lui, il m'avait déjà enlevé ma chemise.il décrocha mon soutif,
et je descendit lui embrasser le ventre, et arrivé juste au nombril, je lui enlève son pantalon, son calebut, et fit un chti plézir à sa virilité.
M¤je retenais des gémissements, elle avais trouvé se que j'adorais qu'une fille me fasse. mais c'été quand même à mon tour mintenant de lui faire plaisir. je la pris par la taille, la remis sur le haut du lit, me coucha sur elle, lui enleva son jean. elle avait un string rouge, ma couleur préférée!!!je lui enleva, mon plaisir était à son comble, quand elle m'arrète:

A:euh...
M: bin keske t'as?
A:le blèm...c'est que je suis vierge...
M: ah! et t'es pas prète?
A: bin si!
M: alors ya pas de problème!j'irais doucement tkt!

M¤je pris le préso qu'elle m'avait passé, l'enfila, me recoucha sur elle, j'adorais sentir la chaleur de son corp nus sur peau, sa peau était tellment douce! je l'embrassa, et la pénétra. elle gémit, sa m'excita.
A¤je l'ai sentis entrer en moi, pour la première fois. il commenca à bouger, je ne savais pas quoi faire, et posa mes mains sur ses hanches, pour bouger avec lui. c'étais trop bon!
M¤j'espérais ne pas être désagréable, parce que je n'avais fais perdre sa virginité à une fille.je mis mes mains sur ses hanches,et la fit basculer sur moi.je carressais son dos, ses fesses, ses cheveux, je ne voulais pas que sa s'arrètes, je me rendis compte que je l'aimais vraiment, je voudrais tout faire avec elle. mais elle n'avait que 16ans. que dirais les autres? je m'en moquais, mais je ne voudrais pas lui rendre la vie dure.lorsqu'on eut fini, elle s'allongea a coté de moi, je la regarda, elle, cette pure beauté, et je lui dit enfin:"je t'aime"elle me regarda, un sourire aux lèvres, rouge comme une tomate.je l'embrassa. on resta longtemps dans son lit, et quand je reparti, a regrets, elle me dit, "moi aussi..."de retour chez moi, il y avait Asto Tyron, E-Rise et Hakim. ils comprirent tous de suite la raisons de mon sourire. ils me demandèrent des détails, mais je n'en donna pas.

M¤la soirée se passe tranquille, jusqu'à ce que Asto dit un mot de travers:

Asto: p**in mais tu devrais la s***er plus souvent ta meuf, parce qu'après t'es vachement plus simpa!!
M(lui fout son poing dans le nez): je te préviens c'est pas un objet!! tu reparles encore une fois d'elle comme sa et t'as plus de c****le!!

¤et sur ce, je sors de l'appart en claquant la porte, et sonne chez Anaïs.
sa faisait environ 1/2heure que j'étais chez elle, on parlait, je l'embrassais, sa me changeais les idées, quand on a sonné, et qu'elle est allez ouvrir:

A: Matt! c'est E-Rise! (à E:)Rentre!
M: qu'est-ce qui a?
E: bin c'étais pour savoir si sa aller mieux.
M: oué...

A¤la conversation s'est poursuivit, lorsque mon portable a sonné, et c'est là que tout a changé...

Femme: bonjour, c'est l'hôpital ****** de Paris, c'étais pour vous dire que... votre mère a été hospitalisée car elle vient de subir un accident de la route, vous devriez venir.
A : au mon dieu!!!! j'arrive tous de suite!

A¤ Matt était dans le salon, il poursuivait toujours sa conversation, mais j'ai dûs l'interrompre. je lui expliqua, et pris ma veste. il me suivit, E-Rise aussi( ne me demandé pas pourquoi, je savais pas où le foutre!!mdr)
il n'y avais pas de taxi, alors je me suis mise à courir.(dsl mais je sais pas si E-Rise et Matt ont le permis!!!)je me demande si j'ai déjà couru aussi vite dans toute ma vie. arrivé à l'hosto, l'accueil m'a indiqué sa chambre, mais j'ai quand même attendu dans le couloir. Matt et E-Rise m'ont rejoint peu après. Matt s'est assis à coté de moi, et m'a seré la main. ont est resté à peine un quart d'heure. une infirmière est arrivé, la mine grave, et m'a annoncé que c'étais trop tard. j'ai baissé la tête, et ai laissée les larmes couler, en silence, je me suis levé, je suis allez dans sa chambre, elle était là, allongée, blanche. je l'ai prise dans mes bras, elle était déja froide.je l'ai remise comme il faut, et suis repartis.Matt m'a suivit, mais de loin. j'ai marché tranquillement à l'accueil, et me suis arrété devant une machine, avec une vitre épaisse, j'ai posée ma main droite dessus, et j'ai laissé ma main gauche pendre, le long de mon corp. et là, j'ai serré mon poing, de toute mes forces, j'ai hurlé, et les lancé dans la machine. la vitre a explosé sous le choc. je n'arrivais pas à m'arrêté de la frapper, je pleurais, je criais, j'étais en trian de me bousiller le bras, il était en sang. quand je me suis enfin arrêtée, je me suis assise par terre, et j'ai continuée à pleurer. Matt est arrivé, m'a serré dans ses bras, et je me suis évanouis.

M¤je ne l'entendais plus pleurer. je me suis mis à paniquer, j'ai bader, les infirmières sont arrivées, elle l'ont emmenée. elle avait plusieurs morceaus de verre dans le bras, dont beaucoup dans les muscles. je me suis regardé: j'étais plein de sang!! je m'en foutais, mais se qui m'a inquiété, c'est que j'avais autant de sang sur mes fringues que sur le sol, elle en avait trop perdue!!!!il étais déjà 1h00 du matin, je me decida enfin a rentrer, E-Rise étais déjà parti. je dormis très mal.

A¤je me réveillas en sursaut, le souffle court, j'essayé d'enlevé un drôle de machin sur ma bouche, j'eus le reflexe d'utiliser mon bras gauche, mais je n'y arrivais pas, j'avais tellement mal, mon mouvement m'arracha un cri. une infirmière arrivas posa sa main sur mon front, et se rendis enfin compte que je suffoqué avec le masque, me l'enleva, et pris mon poul. j'avais mal, mais je n'arrivais pas a parler,et gémissais. elle me donna enfin un anti inflamatoire. je me sentis beaucoup mieux, mais me rapellas comment j'en étais arrivé là, et je me remis à pleurer, je pleuras toute la matinée, non-stop.lorsque j'arréta enfin, j'appella une infirmière, et lui demanda depuis combien de temps j'étais là, et là, j'hallucina: 2jours!!!!

M¤j'étais inquiet, sa faisait 2 jours que je n'avais pas de nouvelle de l'hopital, du coup, je planais, et je du raconter le truc, les réactions furent immédiates. sa m'énervé plus qu'autres choses, mais ils me arcelaient. et puis mon fone a sonné: c'étais l'hopital! j'y suis vite allez. je tok a sa porte.
A¤je le vois qui rentre, je lui fais un grand sourire, sa me faisait tellement plaisir de le voir! on se fait un big calin, et un big patin mdr. mais un médecin arrive, celui qui m'avait opéré aparement, et qui me dis que beaucoup trop de verre étais dans mes muscles, et que sa les avaient endommagé. je ne pourrais plus utiliser trop souvent mon bras gauche. mais vus que j'étais gauchère, il me faudrais de la rééducation.
(dsl si la suite des phrases se suivent maladroitement, mais j'y peu rien,c'est sa le cannabis!)

M¤ trois mois se sont écoulés. j'aime toujours autant Anaïs. j'habite chez elle mintenent, et je l'aide, parce qu'avec son bras, c'est plus compliqué. ses séances de rééducations sont terminée. elle a refait sa garde robe pour cacher ses cicatrices. dans une heures, je la présente à ma mère et mon frère, elle stèsse!!!on est à la gare de Strasbourg, on attend le taxi. on aurais jamais du en arriver là...

A¤ dans le taxi, il me tien la main, comme a son habitude. et puis, très vite, le chauffeur perd le controle de la voiture. malgrès ma ceinture de sécurité, je tape la vitre, j'entend Matt qui crie, et puis plus rien.

M¤pourquoi c'est toujours elle qui morfle?je n'ai jamais rien! je l'attend, elle est en réanimation, ma mère vient de me rejoindre, avec Julien, je les prend dans mes bras, et laisse couler mes larmes. un médecin arrive enfin:

médecin: M.T****?
M: oui...
médecin:elle s'est réveillé, mais...un morceaux de pare-brise...
M: et?...
médecin: et bien...elle a perdu ses facultés vocales
M: o non! je peux la voir?
médecin: oui bien sur, chambre 225
M:...

A¤ je suis allongée dans un lit, je reconnaissais bien que s'été un lit d'hopital. j'ouvre les yeux... je reconnais le décor, pas très chaleureux.on frappe à la porte, j'ouvre la bouche, mais rien ne sors. je panique, m'assois sur mon lit, on continu de frapper,je veux essayer de crier, mais n'y parviens pas. je ne retiens pas mes larmes. la porte s'ouvre, et Matt entre. je le regarde, les yeux plein de peur, la main à la gorge. ses yeux d'habitude si expréssif, sont, là...indéchifrables. je tend les bras, et il se jette dedans, je l'entends pleurer. pour la première fois. sa me rend plus triste cotre choze, et me remet à pleurer. il s'enlève enfin, me regarde, m'embrassa, et me dit "je suis désolé". je le regarde, essayant de comprendre pourquoi, mais aparament il ne capte pas. je regarde autour de moi, cherchant un stylo et du papier, mais c'est vide. je lui en demande, avec mes mains, et il apelle une infirmière, c'est là que je vois sa mère et son frère dans l'embrassure de la porte.je les observe, et baisse la tête. quand le papier arrive enfin, je me penche pour choper la tablette du lit, et "demande" à Matt se qui s'est passé.

A¤2jours s'étaient écoulés, je repartais à Paris, avec Matt. je n'avais pas la force de rester à Strasbourg, même si l'idée de remonter dans un véhicule m'effraier. Dans le TGV, Matt me parlait, je lui répondais à l'écrit. et puis, quand il n'a plus parlé, je lui écris "j'aurais préférée y rester" il se tourne vers moi, des larmes dans les yeux. (le dialogue qui suis est a l'oral pour Matt, a l'écrit pour Anais)

M: mais pourquoi? je t'aime!
A: mais moi aussi! mais je ne pourrais plus exprimer se que je ressens, je ne pourais plus te montrer le bien que tu me fais quand on fera l'amour, je serais surement plus un boulet cotre chose! toi tu vis avec ta voix, et moi je n'en ai plus! et puis, pour me faire comprendre des autres? il me faudra toujours quelqu'un pour me faire comprendre, je ne te servirais à rien!
M: mais pas du tout! pour parler avec les autres, tu auras les signes, les mots, et moi!j'aurais toujours besoin de toi!!! tu me donne du calme, j'ai besoi de tes yeux, de ton corp, de ton coeur, de tous!

M¤ et je la prend dans mes bras. se qu'elle venait de me dire m'avais foutu un coup au coeur, j'avais peur qu'elle essaye de mettre fin a ses jours. je l'aimais vraiment trop. je ne crois pas que je pourais survivre. elle m'étais vraiment devenu indispensable. elle était déjà venu avec moi sur une des dates de ma tournée. de retour à Paris, Tyron est venu nous voir. il demanda des nouvelles d'Anaïs, qui s'était cloitrée dans la chambre de sa mère.je l'emmena la voir, parce qu'ils s'étaient toujours bien entendu. dans la chambre, Anaïs était assise sur le lit, le regard fixé sur le mur. quand Tyron est rentré, elle s'est débloqué, il l'a serré dans ses bras. j'ai toussoté. il l'a laché, géné. c'est la que j'ai compris...je suis venu embrassé Anais, et suis reparti avec Tyron.dans le salon je l'ai fixé, et il l'a bien senti

T: kes ke t'as?
M : c'est plutôt à moi de te le demander!!pourquoi tu l'as chopé comme sa?
T: ptin mais c'est bon!!! j'ai eus peur pour elle c'est tous!
M: oui peut-ètre, mais c'est pas une raison!! je te rapel que c'est MA meuf!
(*le ton monte)
T:oh mais tu vas te calmer oui?!? t'as pas à être jaloux comme sa!!
M: mais tu lui a toujours tourné autour!!
T: et alors!!!??
(*alors qu'ils se disputaient, Anais est sorti, et les observés)
M(le poussant): je te préviens, tu l'auras JAMAIS!
T: sa j'avais compris!! mais je peux toujours essayer!! on est deux à l'aimer!!

M¤ là, je ne me retiens pas, et lui envoia mon poing dans la tête, et j'entendis un boum.je me retourna, et vis Anais, la bouche ouverte, la main sur le ventre. elle se précipita sur Tyron, l'aida a se relevé, et l'ammena dans la salle d'eau pour arréter les saignements de son nez. je m'assis, et cacha mon visage dans mes mains. j'avais tellement honte de se que j'avais fais! lorsqu'ils ressortir enfin, je me mis devant lui, et m'excusa, il fit comme si je n'été pas la. Anais lui ammena un verre d'eau. je l'a pris à part (matt a l'oral anais a l'écrit)

M: je sais pas se qui m'a pris...
A: moi non plus, je sais pas se qui t'as pris! tu es fou?
M: eske tu sais au moins pourquoi je l'ai frappé?
A: oui! et c'est tout a fais ridicule! il a quand même le droit d'avoir des sentiments! même si ils sont pour moi!! tu ne suporte pas la concurence où quoi?
M: c'est pas sa!! mais il a quand même essayé de t'avoir, tout a l'heure! quand il t'a pris dans ses bras!
A: et alors? il m'a eut? non! pour moi, il n'est qu'un pote, un super pote, c'est sur, mais un POTE! et toi tu es l'homme de ma vie!je n'ai et n'aurais que toi dans ma vie!! et puis moi, je ne pique pas une crise quand une fille te tourne autour! j'espère pour toi que Hak est pas rancunier, je vais essayer d'aranger les choses.

(*dial avec Hak, pareil qu'avec Matt coté comunication)

A: tu lui en veut beaucoup?
H: un peu...il a frappé super fort!!
A:sa c'est sur...mais je l'ai bien engueler.
H: il t'as dit pourquoi il m'avait frapper?
A: oui(il rougit)et je trouve sa tellement immature!! tu as le droit d'avoir des sentiments! même si je suis prise, sa me touche vraiment( je pose ma main sur son genou)
H:oué...je peux te toucher?
A: bin...sa dépend ou!
H: au visage
A:ok
H(il me carrese la joue)merci...
A(je lui donne un bisou sur la joue) tu lui pardonne?
H: oui.

A¤ Tyron tend sa main à Matt, qui la chope avec un grand sourire, suivit d'une entreinte.j'étais contente d'avoir réussi à les reconciller.

A¤mais je replongeas très vite dans la tristesse. Matt essayé toujours de me toucher, mais moi je refusé. il se vexé, naturellement, et il était triste. je ne lui servais a rien. je ne le touché plus! je ne le regardais plus, je ne rié plus, ni avec lui, ni avec ses potes.je déprimé. je devrais en finir. sa serais surement un poid en moin pour tous le monde. mais comment faire? quand le faire? comment me justifié? je savais que le sucuide était un échapatoir lache, et qu'il détruirait celui que j'aimais, mais je n'en pouvais plus. Paris est une ville très vivante, avec plein de magasins, de fringues comme de flingues... je me rendis d'en l'un d'eux. je paya 2fois plus cher pour l'avoir sans autorisation. je me rendis a l'appart'. Matt n'était pas encore là. tant mieux. je lui écrivis une lettre, mes larmes coulaient sur le papier. je sortis l'arme de mon sac. la chargea. mes larmes coulaient à flot, rien qu'a l'idée que mon sang aller faire de même. je l'approcha de ma tempe, et tira. je m'étala de tous mon long sur le sol, l'arme vola. mon corp trempais dans mon sang. je vis cela du plafond. j'étais heureuse, pour la première fois depuis...longtemps.

M¤je rentrais chez moi, il y avait Tyron,Lyess,E-Rise et Hakim. je rentre, la porte n'était pas fermée. mais dans le salon, je vis se que je craignait de voir au moment de l'accident à Strasbourg. Anaïs, ma moitié, allongée dans le salon, entourée de sang. je me mis à pleurer. je tomba à genoux,
la pris dans mes bras. impossible de m'arrété. je ne pouvais pas y croire, je ne voulais pas y croire. dernière moi, les mecs étaient prétrifiés. quand enfin ils réagir, ils essayaient de me la faire lacher. je les repoussa. je continué a pleurer, je n'avais pas l'intension de m'arrété. Hakim appella les secours, qui arrivère peu de temps après. ils me forcèrent à la lacher. quand je l'eut fait, je resta par terre, et Tyron me pris, il pleuré lui aussi. normal, il l'aimait toujours. je ne comprenais pas pourquoi elle avait fait sa, lorsque E-Rise trouva la lettre.je la lut, et sa ne fit qu'augmenter mes larmes. comment avais-je pus lui l'éssé faire sa? j'étais vraiment dégueulasse! aparament, j'avais pensais fort, parce que les mecs me dire que je n'y étais pour rien...


FIN