[Fini]Parti trop tôt

Merci Yoyo

J'ai lancé un regard déséspéré en direction de mes deux amies.<<Ne me laissez pas, s'il vous plait>>. J'ai commencer à paniquer quand j'ai vu tous ces visages cadavériques. Comment avais-je pu me mettre aussi rapidement dans un tel pétrin ? Et tout ça pour avoir demandé un peu d'aide en maths ? Où était Seb d'ailleur ? Je ne l'avais vu nulle part. Je le préférais mille fois mieux à ces figures sinistres, j'avais peur et la musique contribuait à rendre la scène plus terrible encore.
Et soudain je me suis retrouvée devant le gourou de la scène gothique, un maxi-gothique en quelques sorte. J'avais déjà entendu parler de lui, il avait l'air aussi vieux que Mathusalem. Il avait de grandes cernes autour des yeux, et des rides profondes autour de la bouche.
Sa voix était faible, il a tiré un joint.

-Alors, des brebis égarées ?
-Heu... non pourquoi ?
-Ce n'est pas un jardin d'enfants ici

Il avait compris notre petit jeu. Il a vu derrière notre camouflage trois élèves de première. L'homme avait l'air assez expérimenté pour ne pas se laisser avoir par quelques touches de maquillage.

-Vous pouvez bluffer les videurs mais pas le Corbeau.

Je me suis souvenue à cet instant de son surnom. The Crow. Le Corbeau. Certains l'appellaient aussi le Fossoyeur. Mes mains étaient froides et transpiraient.

-Que vennez-vous faire ici ?
-Heu...rien...juste voir...et repartir...
-C'est ce que vous avez de mieux à faire. Ne déranger pas notre cercle.

C'était bien notre veinne. A la sortie une forme noire m'a tendu une carte de visite. Je l'ai prise sans même la regardé. J'étais tellement soulagée de sorit de cette assemblée de morts vivants.

-Victoria comment as-tu put me fair eune chose pareille ?
-J'ai fais quoi encore ?
-On aurait pas pu se déguiser en hippie ? C'était quand même moin risqué !
-Et s'il nous dénoncé ? renchéri Birt
-Il ne l'aurait pas fait ! pour lui c'est aussi un moyenne de recretuer de nouveaux adeptes pour son culte satanique, l'a rassuré Vic.
-Tu veux dire qu'il célébre de smesses noires et tout le ralala ?

J'ai frissonné.

-M'a mère m'a dit qu'ils allaient dans des cimetières le soir et retournaient les tombes, a soufflé Vic.
-Non !
-Si ! tu ne l'a pas lu dans les journeaux ? Le type à même été interrogé par la police, mais ils n'ont rien pu prouver
-C'est horrible ! je suis exclamée.

J'avais absolument plus envie de me trimbaler dans mon déguisement.




La suite ce soir ou demain

J'ai enlever toute la poudre qu'il y avait sur mon visage, ma figure retrouvé peut à peut la vie.
Nous nous sommes prommenez encore un peut dans la boîte et nous avons vu Seb au loin, nous l'avons donc rejoint.

-AH enfin ! a-t-il dit
-La boîte est grande tu sais, puis j'ai eu une petite conversation avec le Corbeau.
-Sans blague ? tu veux adrerez à ça petite secte ?
-Jamais de la vie.
-Bon tu viens danser ?
-Mais je sais pas danser, les cours de danse c'est pas pour moi.

Il m'a regardé bizarrement, m'a pris par le bras et m'a dirigé vers la piste de danse en laissant mes deux copines en plans. Puis il a déclaré:

-On est pas obliger de savoir danser pour danser en boîte.
-Si tu le dis, au fait c'est qui le DJ ?
-DJ E-Rise, il est plutôt bon tu trouves pas ?
-Pas mal du tout.
-Tu sais t'es vraiment une fille chouette !
-Ah merci !

Bizarrement il me paraissait beaucoup plus sympatique sans sa bade de copains, et à bien regardé il était plutôt charmant. Mais cet élan de sympathie pour lui c'est vite évaporé quand il a profiter de mon moent de faiblesse pour em rpendre dans ses bras, et avant d'avoir eu le temps de dire quoi que ce soit il m'avait coll" un gros baiser sur les lèvres. J'étais tellement surprise que je n'ai aps réagis. Il a fallu qu'i lessaie d'aller plus loin pour que je me reveille. Je l'ai mordu de totues mes forces.
Il a poussé un cris perçant. J'ai desserré les dents et je me suis excusée. Oh là là là ! Qu'est ce qu'il m'avait pris ?

-Je t'ai fait mal ? ai-je demandé, sincèrement désolée.

Il n'avait pas l'air très content.

-Tu es fole ! Tu embrasse toujours comme un vampire ?
-Heu non en fait uniquement quand je me sens dépassée par la situation.

Il s'est retourné et m'a laisser planter là au milieu de la piste. La situatio nétait plutôt génante. Mes deux copines m'ont rejointes rapidement et je leur ai expliquée la situation.

-Et alors, tu lui a coupé la langue ? Ca a bon gout ? a demandé vic tout amusée.
-N'importe quoi c'est juste une morsure. A mon avis, il avait a surtout peur de rester coincé !

Brit à éclaté de rire.

-Pour fêter ça on devrait boire du champagne !
-Pourquoi ? ai-je voulu savoir.
-C'est quand même ton premier vrai baiser ! T'es quand même un peut en retard pour ton âge normalement à 16 ans c'est u nautre cap qu'on passe.
-Je te remercie de me remonter le moral.

Nous sommes chaqunes chez elles, minuit approchait et nous n'avions aucune envie d'être controlées.

Ma mère m'attendait dans le salon, et elle avait l'air plutôt ennervée. D'abord à cause de l'heure, ensuite à cause de ma tennue.

-D'où est-ce que tu viens Tu sais quelle heure i lest ?

Je le savais mais je ne voulais pas répondre, de peur qu'elle n'explose complètement. J'ai préféré me taire et baisser la tête, mais ça n'avait pas suffi.

-Tu réponds quand je te parle !
-Qu'est-ce que tu veux entendre ?
-Ne soit pas insolente ! Où tu trainais dans cette tennue ?

J'ai préféré faire diversion.

-Avec Enzo

Ma réponse à fait mouche. Ele m'a regardé d'un air perplexe.

-Comment ça avec Enzo ?

J'ai fait l'étonnée.

-Tu ne sais pa soù i lest ? Tu m'espionne mais ton fils préféré traine jusqu'au milieu de la nuit à L'Arelquin tu t'enfiche.
-Ca n'a rien à voir. Enzo à 18 ans. Toi, tu n'as rien à faire en boîte. Et s'il t'a aider à rentrer il va m'entendre.

Pourquoi j'avais pas fermer ma bouche ? Voila que j'avais mélée mon frère dans mes histoires. J'avais pas le choix il fallait que j'avoue totue la vérité. Quelle vicieuse, elle avait du mal à s'empecher de sourire quand je lui ai fait part de certains détails. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle a été plus indulgente.

-Je t'interdit d'aller dans des lieux pareils, compris ? Encore mois quand tu as cours le lendemain !
-Enzo lui il a le droit de sortir quand il veut, ai-je crié en claquant violament la porte de la salle de bain.

J'ai commencé à me lavé les cheveux. Une fois, deux fois.... dix fois. J'ai terminer tous els shampoing mais mes cheveux réstaient colorés.

*Merde, je peux quand même pas aller au lycée comme ça*

Je me suis regardée dans la glace. Le mascara me faisait de grosses cernes autour des yeux et le peut d'alool que j'ai pris me faisait oturner la tête.

*J'abandonne, je m'en fiche de ce qu'il penserons demain je vais dormir*

Avant de m'endormir j'ai appelé vic

-Ne t'avise plus de me teindre les cheveux

Elle s'est excusée, à moitié endormie, répétant qu'elle ne comprenait pas ce qui avait bien pu se passer.

-Je peux te refaire ta couleur demain si tu veux
-Surtout pas ! ne touche plus à mes cheveux

J'avais à peinne coupé de mon portable m'a signalé l'arrivée d'un message. Et quel message !

Débora ma belle,
Viens embrasse moi sur le front !
Attention, ne me fais pas mal,
Es-tu toujours aussi mordante
Ma petite souris gothique ?

J'ai dégluti difficilement. Qu'est-ce qui lui prennait ? Comment il savai tout ça? Personne exepté mes amis et Seb n'était au courant de ce qui s'était passé.
En m'allongeant sur mon lit, j'ai pensé, presque endormie déjà, qu'il ne pouvait y avoir qu'une seule explication: mon interlocuteur annonyme était Sebastien. Malheuresement.

Quand je me suis regardée dans la glace le lendemin matin j'ai poussé un cri d'horreur, pas besoin d'être devin pour comprendre que je ne pouvais pas aller au lycée comme ça. Personne ne pouvait exiger ça de moi. J'allais être la risée de tout le monde. Et de Seb en particulier. J'ai donc préféré me remettre au lit.
Malheureusement c'était sans compter avec ma mère. A peine m'étais-je recouchée qu'elle a surgis sans crier garde sans ma chambre.

-Qu'est-ce qui t'arrive ? tu devrait être debout depuis longtemps.
-Je me sens aps très bien.
-Je m'en doute. Tu peux pas trainer dehors jusqu'a des heures impossibles et être en forme la matin pour aller en classe.
-Qu'est ce que tu veux dire par trainer ? Je ne trainais pas. Et en plus je suis rentrée plus tôt que Enzo.
-Il a 18 ans il est majeur. D'ailleur il prends son petit déjeuner. Tu as cind minutes pour déscendre.

Sur ces mots elle est sortie. Que faire ?
Ma mère, en général, était plutôt compréhensive. En même temps, elle avait des principes tous plus rigides les uns que les autres. La plaisir d'accord, mais le devoir avant tout. La liberté oui, mais pas trop. Des ceveux ruinés, un premier baiser, être défigurée, ne faisait pas partie de la catégorie des problèmes sérieux, selon elle. Il fallait que je trouve une solution.
J'ai attrapé mon portable pour m'enquérir de l'état de Brit.

Salut, mon escargot, ai-je dit, en croyant reconnaitre sa voix.

Zut c'était pas elle. C'était sa mère, la sorcière.

-Britanie est dans la salle de bain, c'est préssé ?

Si ça l'était ! J'ai demandé à sa mère de lui dire de m'appeler dès qu'elle sortirait.
Elle m'avait rappeller quelque sminutes plus tard, elle avait l'ai d'avoir pleuré.

- Je suis horrible ! La teinture ne part pas. Je ressemble à un chien, je t'assure c'est horrible.
-Et moi, pareil. Je ressemble à Hans-Hermann !
-C'est hors de question que j'aille au bahu comme ça !
-Moi non plus mais ma mère n'est pas d'accord.
-La mienne non plus.
-Pourquoi sont-elle si cruelles ?

Nous pleindre n'allait ni redonner à nos cheveux leur couleur naturelle ni amadouner nos mères.

-On a pas le chois, lui ai-je dit quand j'ai entendu ma mère cogner brutalement contre la porte. Il faut qu'on y aille.

En me levant, je me suis promis de ne plus jamais m'habiller en gothique, même pas pour le carnaval.
Je suis décendu prendre mon petit déjeuner et malheuresement pour moi toute la famille était rassemblée, je vous dit pas comme les remarques ont fusé.

-Ouah ! s'est exclamée Léa.
-Tu est un peut pâlotte, a remarqué mon père.
-Tu avais un rendez-vous avec le Corbeau ? a demandé Enzo.

J'ai enfourné une tranche de pain. Ca m'évitait de répondre, et je me suis éclipsée avant d'entendre les autres remarques vyniques de mon frère. C'était l'avant gout de ce qui m'attendrait au Lycée.

Je viens de remarqué que Débora s'écrit en faite Déborah...


C'était évident que notre look ameutait la galerie. Une fois les premiers commentaires essuyés, nous avon décidés de prendre les choses à la légére. Nous avions maintenant une expérience à L'Arlequin et peu de monde pouvait s'en venter et nous jouions cette carte à fond.
Bientôt, plus personne ne s'interessait à nos cheveux. Tous voulaient connaître les détail de notre soirée, admirant le sang-froid dont nous avions fait preuve pour rentrer.
Quand la sonnerie à retenti, j'ai pris Brit et Vic à part. Vic elle avait eu la bonne idée de recouvrir ses cheveux d'un foulard, ce qui lui allait plutôt bien. Je ne pouvais malheuresement pas suivre son exemple. J'aurais eu l'air d'une femme de ménage en plein action.

-Ecoutez, ai-je dit en montant les escaliers, je crois savoir qui c'est.
-Ah bon qui ? ont-elle dit d'une même voix
- Il m'a envoyé un message. Il voulait savoir si j'étais toujours aussi mordante. Ca ne pouvait être que Seb.
-J'en étais sûre ! s'est exclamée Vic.
-Je n'irais pas si vite en besogne. Tu avais aussi dit que la teinture partirait avec le premier lavage...

Les réactions des profs ont étaient les pires. Grincheux, en particulier, s'en ai donné à coeur joie. Il a commencer à se moquer du foulard de Victoria. Elle n'avait pas préparé sa contre-attaque et a bredouillé:

-Heu.. j'ai mal aux oreilles.
-Ce ne m'étonne pas. C'est chronique chez toi pas vrai ?

Je savais que Grincheux m'en voulais depuis le dernier devoir je m'attendais donc à ce qu'il profite de l'occasion. C'est incroyable comme les profs peuvent être mésquins !
Seb ricanait. Il m'a même tiré la langue. Au moins j'étais sûre de ne pas lui avoir coupée. Je n'ai pas pu m'empecher de sourire en repenssant à la scène.
Mon portable m'a signalé l'arrivée d'un message.


Mon Alraune adorée, ma colombe
Depuis el fond de ta tombe
Je t'en prie:
Celui que tu as mordu
Ne l'embrasse jamais plus.

J'ai regardée l'écran, puis Seb, puis de nouveau l'écran.
Quelques minutes plutôt je pensais être sûre d'avoir découvert l'identité de mon admirateur.
Maintenant ce message vennait tout boulverser ! Ca ne collait pas.Les SMS et Grincheux non plus.

-Si je te surprends à nouveau avec ton portable, tu sors de mon cours compris ?

Effrayée, j'ai remis mon portable et le joli message dans mon sac.
Me penchant sous ma table, j'ai rencontrer les yeux de Vic.

-Qu'est ce qu'il y a ?
-Ce n'est pas Seb.

En fait ça me réjouissait plutôt.
A la pause j'ai montré le message à mes amies et elles m'ont donné raison.

-Dommage j'étais sûre que c'était lui, a dit Vic.
-Moi aussi, ai-je avoué.
-Ca veut dire qu'un type était à L'Arlequin et qu'il était suffisament près de vous pour pouvoir comprendre la scène, a conclu Brit.
-Je lui avait dit que j'y serais.
-Je trouve ça bizarre. Ca me donne des frissons de me dire qu'y a un mec qu'on connais pas qui observe tous tes faits et géstes.
-Ne dramatise pas, lui ai-je répondu.

Pourtant, je devais avouer que ça me dérangait aussi. Il m'avait vue dans le jardin d'hiver avec le Corbeau,=et, après, sur la piste. Deux situations où j'avais aprticuliermement brillé...

-Je n'aime pas ça non plus, a renchéri Vic. Il t'espionne et, lui, il ne te dit rien sur lui.
-Est-ce que ça pourrait être Philippe ?
-Non avec sa tête de bébé, jamais on ne l'aurait laisser rentrer.
-T'as aucune idée de qui ça pourrait être ?

J'ai secoué la tête.

-Il faut qu'o nélargisse le cercle des suspects et qu'on prenne en compte les garçons plus agés. Apparemment, i lest entré sans problèmes en boîte. Ca signifie qu'il a au moin 18 ans ou qu'il en a l'air.
-C'est peut être quelqu'un qui fait du sport avec toi ou qui t'a vue à la chorale ?

J'éspére qu'il s'agisse de la chorale, l'image du beau blond mélancolique m'est revenue en mémoire. Et si je l'abordais, tout simplement ?
Nous nous sommes donné rendez-vous chez moi l'après-midi pour poursuivre notre enquête.
J'ai pris le bus et croisé de nouveau le garçon aux yeux bleus et me souriait désormais depuis plusieurs semaines. Son sourire ce jour là était un peut coincé. Sans doute mon new look ne lui convenait pas. Je lu iai rendu son sourire.
Ensuite je l'ai vu sortir de son blouson et taper quelque chose en me tournant légérement le dos. Mon portable à sonné. J'en étais sûre désormais. C'était lui. Mes mains tremblaient. Pourquoi n'y avais-je pas pensé plus tôt ? Il me voyait tous els jours et il avait eu le temps de tomber amoureux. Le mystére allait-il être enfin dévoillé ?
J'ai attrapé mo portable avec hate.

-Oui ? ai-je répondu avec hâte .

-Est-ce que tu peux rapporter de la viande hachée ? Maman veut faire des pattes à la bolo ce soir, m'a demandé Enzo.

J'ai regardée le garçon au yeux bleus. Il avait rangé son portable et me souriait. Ca ne voulait rien dire. Il était en possession d'un portable, il pouvait donc m'appeller ou m'envoyer des SMS. Il était le suspect numéro 1.

-Déborah tu m'entends ? s'est impatienté mon frère.
-Oui, oui, j'ai compris.

J'ai rangé mon portable et j'ai observer mon beau compagnon de voyage. Il valait sans problème tous els garçon de la classe réunis.
J'ai fait part de mes soupçons à mes amies.

-Ca se peut,a dit Vic. Grace à ta carte de bus il aurait accès à toutes tes infos. Ca se tient.

Je voyait les choses de la même façon. Notre enquête est repartie de plus belle même si elle se compliquai au fur et à mesure.
Nous nous étions retrouvés dans la librairie de ma mère et buvions du thé tout en feuilletant des magazines de mode. A cette heure l'ambiance était plutôt calme.

-Il faut l'espionner, a proposé Victoria.
-Oui mais il me connait, il le remarquera tout de suite si je le suis.
-On n'a qu'a te déguiser !
-A non ! Tu me touche plus
-Qu'est-ce que tu penses d'une perruque blonde ?

Je l'ai ignorée.

-A quelle station de bus il déscends ?
-Je sais pa sil déscent après moi.
-Et ben la prochaine fois, attends et déscends avec lui. Et ensuite suis le pour voir où il va .

Un veritable agent secret someillait chez elle. Elle m'épatait et m'effrayait en même temps, rien ne l'arrêtez quand elle avait quelque chose en tête.

-Il a quel âge à ton avis ?
-Je pense l'âge de mon frère.
-C'est déjà un élément, en tout cas il peux entrer en boite sans problèmes.
-Tu crois qu'il va encore au lycée ?
-Il pourrait aussi faire un apprentissage, a remarqué Brit.
-Je sais pas il a toujours un cas et il a plutôt le look d'une élève de terminale.
-Ouais, en plus ses poèmes débiles indiqueraient plutôt un élève bon en français, qui sais faire des rimes et jouer avec les mots, peut être il est en L. Est-ce qu'il a l'air romantique ?

Je n'apréciait pas du tout qu'elle califie ses poèmes de débiles. Ils me plaisaient, je les trouvait drôles, gentils, subtils.
Je n'étais plus très sûre de vouloir le démasquer. Parfois, le mystère est plus précieux que la vérité. En plus, j'ignorais complétement ce que je ferais si je cécouvrais son identité. Vouslais-je vraiment le rencontrer ? Avoir tant parlé, savoir tant de chose sur l'autre qui sait ? finnir peut être effroyablement déçue. Peut être il vallait mieux en rester là.

-Au fait, c'est le marathon nocturne samedi, ai-je dit pour changer de sujet, tu pourrais passer la nuit à la maison, rester le dimenche et prendre avec moi le bus lundi matin ? Comme ça tu le verrais et on pourra le suivre ensembl. Ca passera peut être iaperçut si on est deux.

Elle a préféré que je commence l'enquête tout de suite, mais elel a accépté ma proposition. Elle savait que le marathon nocturne me tenait à coeur et que je souhaitais me concentrer sur l'entrainement. Notre prof de sport n'avait pas encore décidé de la composision de l'équipe du lycée et j'avais peur qu'il ne me retienne pas. J'avais travaillé dur depuis des mois.

-Si on me prends pas, je m'inscrirait à l'individuel.
-Ne t'inquiète pas, m'a rassuré Brit.

J'allais bientot être fixée. Le dernier test aurait lieu demain. Le prof allait devoir se décider. La date limite des inscriptions était Jeudi.

Notre prof de sport avait réorganisé ses cours depuis le début du mois. Il ne comptait désormais que les élèves de première et terminal qui partaient au ski en décembre.

-On va commencé par une mise en condition générale puis on constitura deux groupes de niveaux Une fois la course passée, on se concentrera sur la gymnastique préparatoire pour le séjour de ski.

Par n'importe quel temps, il nous emmenait courir autour d'un lac de la ville. A chaque fois, plusieurs d'entre nous restaient sur le carreau. Comme il voulait consituer l'équipe aujourd'hui, il avait convoqué les deux groupes pour un entrainement commun.
L'entrainement était épuisant. J'avais parfois l'impression que le prof ne m'appréciait pas beaucoup et que ça diminuait mes chances d'être retenue. Mais Vic n'était pas ce cet avis.

-Il y a l'honneur du lycée, si tu es bonne il te retiendra.
-Ceux de terminale sont meilleurs il va les retenir c'est sûre.

Un garçon nous a doublées. J'en coroyait pas mes yeux c'était celui de la chorale. Ca m'a motivée encure un peu et j'ai accéléré le rythme.

-Hé ? Qu'est ce qui te prends ? a toussé Vic qui n'arrivait plus à me suivre.

J'ai ralenti et fait un signe discret en direction du garçon, elle à compris tout de suite.

-Va y ne t'occupe pas de moi.

Je l'ai interrogé du regard, pouvais-je vraiement la laisser seule?

-Allez n'aie pas de scupules, si je craque je rejoindrais Brit.

Elle m'a donné une petite tape sur le bras et je suis partie. Le garçon avait déjà atteint le tunel qui passait sous l'autoroute. Je devais accelerer si je voulais le rattrapé. Au bout du tunel environs dic mètres nous séparaient. Mon envie de la rattraper me donnais des ailes, je sentais à peinne le sol sous mes pieds. Quand je l'ai rejoint, il a légérement tourné la tête et il m'a sourit.

-J'aimerais vraiment faire partie de l'équipe, ai-je dit en soufflant. Et toi ?
-Moi, ça m'est égal, a-t-il répondu.

Il n'avait pas l'air fatigué du tout.

-Tu es bon pourtant ! ai-je glissait en essayant de me maintenir à sa hauteur.
-Toi aussi, a-t-il répondu.

Pendant un temps nous avons couru l'un à coté de l'autre scilencieusement. A plusieurs reprises j'ai failli lacher. Il a dû le remarquer parce qu'il a ralenti. A ce rythem nous avons assez rapidement rejoint le groupe de tête.

Dans les vestiaires je me suis affalée sur un banc. J'étais rouge comme une tomate. C'était la première fois que je courrais aussi vite et, en plus, en si bonne compagnie. Ca valait bien quelques efforts.
Le temps que le reste des filles arrive, j'avais eu le temps de prendre une douche. Il y avait quelqus filles de terminale. je connaissait Alex et Jessica grâce à la chorale. Elles parlaient du marathon auquel elles avaient participées en individuel l'an dernier.
Je me séchais les cheveux quand mes deux copines m'ont rejointes.

-Dis donc t'es partie comme une fusée ! s'est exclamée Brit.

Vic à rit

-Je ne savais pas que ce garçon te plaisait autant ! Tu fais des infidélités à ton terroriste. Attention ça vengeance va être terrible.
-Il y a plus de garçons bien sur cette terre que de vies possibles pour une femme, ai-je répondu amusée.
-Ouah ! Notre Déborah a l'air d'avoir était touchée par Cupidon. Ca ne vaudrait pas le coup d'en savoir plus sur ce jeune homme ?
-Non! les ai-je aussitpot freinées. Si vous pouviez pour une fois ne pas mettre votre nez dans mes affaires, ça m'arrengerait. Je peux me débrouiller toute seule comme une grande.

Chaque chose en sont temps. mon premier sujet de préocupation était la séléction pour la course.

Quand nous nous sommes rassemblés dans le gymnase je me suis retrouvée par hasard aurpès du sportif.

-Merci de m'avoir aidée à maintenir le rythme. je n'ai jamais courru aussi vite de ma vie.

Il ne m'a pas répondu mais m'a lancé ce beau sourire mélancolique que j'avais déjà remarqué chez lui. Puis le prof a annoncé la liste des séléctionné. Les deux équipes seraient chaqune composées cind courreur et de deux remplaçants. Il avait déjà ennoncé quatre nom pour la première équipe, celle des filles de première et de terminal. Parmis elles Alex et Jessica. Si seulement je pouvais être remplacante. Souain j'ai entendu Vic crié.

-Super tu as réussi !

Elle parait tellement fort que je n'ai entendu que des bribes de ce que disait le prof qui parlait de très très gros progrès.
J'ai voulu remercier le sportif mais il avait disparu.
Nous sommes sorties de la salle. J'ai repris mon sac de sport. Mon portable clignotais ce qui indiquait l'arrivée d'un message.

Bravo ma gazelle ! Rendez-vous à la course ! Je t'aime.

Ce devenait de plus en plus bizarre.

-Comment il pouvait etre déjà au courant ? ai-je demandé à Victoria.
-Ce n'est peut etre pas un message de lui, a avencé Brit-Mais si personne d'autre ne m'envoie de messages. Ce n'est quand même pas le prof de sport.
-Ca serait la meilleure ! a dit Vic en rigolant.

Allez la suite, c'est plus trop long vous aurez vite la fin de la première partie, on en est aux trois quarts.

Le soir de la course, nous nous sommes donné rendez-vous en ville. Le centre était fermé à la circulation. Trois courses avaient lieux, celle de trois six et douze kilomètres. Un grand magasin avait acheté des coupes et un des journeaux local offrait gratuitement les boissons aux coureurs. Partout, on trouvait des vendeur de saucisses (sans arrières pensées). Il y avait même un manége sur la place du marché. C'était vraiment une ambiance de fête.
Pour débuter, le maire (heu c'est qui le maire de Strasbourg ?) a lancé la première course en individuel. La suivante était la course de six kilomètres, à laquelle un grand nombre d'écoles s'étaient inscrites. Plus tard devait avoir lieu la course où concouraient les marathoniens professionnels.
La foule se pressait le long des trottoirs, encourageant par des applaudissements les coureurs.
Ma famille s'était installée dans un café de la rue pietonne par laquelle la course allait passer. Lea était ausi excitée que moi. Seul Enzo jouait les indifferents. Courir n'était pas son truc. Il préférait la position assise devant la télé ou devant l'écran de cinéma.
Mon prof de sport était sur les nerfs.

-Où est donc fourré Matthieu ? répétait-il. Quelqu'un l'a vu ?

Comme j'ignorait qui était ce Matthieu je ne lui était d'aucune aide. Je regrettais tellement l'absence du jeune sportif, je ne l'avais pas vu de la soirée je ne savais même pas si il avait était séléctioné.
Je terminais mon échauffement quand je l'ai vu. Il portait un survetement et il m'avait tout l'air de vouloir courir.

-Ah ! Enfin ! Matthieu ! a dit notre prof, apparemment soulagé. Il était temps !

Je l'ai regardé. Alors comme ça il s'appellait Mattiheu. J'ai répété ce prénom dans ma tête. Matthieu. J'aime bien ce prénom.

Résultat de la course je suis arrivée troisième de la classe d'âge, l'équipe des filles était également arrivée troisième et pour couronner le tout l'équipe des garçons était arrivée seconde et Matthieu avait finni premier.
Mr Sprinter était tellement heureux qu'il nous a inviter à manger dans un restaurent Italien.
Il nous a dévoilé un autre aspect de sa personnalité, beaucoup plus humain. Je me régouissait à l'avance des vacances de ski avec lui.
J'étais surtout heureuse d'apprendre que Matthieu serait de la partie. Il était assis entre Alex et moi et partagait sa pizza avec nous.
C'était le bonheur ! Seul point noir, la présence d'Alex. J'aurais été moins contrarié s'il était moins juste dans la réparition de ses sourires. Toutes mes tentatives pour attirer son attention et mener une conversation normale avec lui était vouées à l'echec à cause du bruit et de la grosse voix de Sprinter.
Quand j'ai trouvé une minute pour failisiter Matthieu il m'a répondu modestement:

-J'aime bien courir
-Moi aussi, ai-je répondu et, dans un accès de spontanéité j'ai ajouté: On pourrait courrir ensemble au parc si tu veux.

A peinne j'avais posé ma questio nque je suis devenue toute rouge. Qu'est-ce qu'il m'avait pris ?

-Pourquoi pas ?

Puis i la disparu avec les bryants copains de sa classe.

Quand j'ai cherché mon portable pour dire à mon père de venir me chercher, un message m'attendait. Je me suis enfermée dans les toilettes et j'ai lu ce qu'il avait à me dire.
Quand je suis sortie mon pére, alias le chauffeur de service, était là. Il avait déjà ramener Vic à la maison et était revenu me chercher. J'ai vraiment un papa en or.

Je me susi glissée discrétement dans al chambre où Vic dormait déjà. Quand j'ai allumé la lampe de chevet elle s'est tournée vers moi et a ouvert à moitié les yeux.

-Tu as eu du succés auprés de ton Matthieur ?
-Je ne sais pas. A mon avis il sort avec Alex.

Vic s'est de ouveau enfouie sous la couette. Je l'ai juste entedu dire:

-Dommage.

Je me susi allongées. J'ai éteint la lumière, le portable à porté de main.
J'ai repensé à Mattieu. Aussitôt son image a disparu pour faire place à celle du garçon du bus. Dans mon demi-someil, je l'ai vu décrocher une étoile du ciel et me l'accrocher autour du cou.

Je met qu'une petite aprtie après je vais au dodo

Il était déjà midi quand je me suis révéillée. Vic m'a apporté le petit déjeuné au lit. J'avais le sentiment de vivre l'un des plus beaux jours de ma vie. Quand le portable à sonné j'ai répondu d'une voix joyeuse.

- es merveillsue, a-t-il dit, tu es la meilleure. Tu crois que tu pourras m'aimer ?

Ca c'était une question.

-Bien sûre je pourrais t'aimer. Enfin, il faudra d'abord que je te rencontre. Tout le reste n'est que théorie. Seule la pratique décide si ça marche entre deux personnes.

Il a rit

-Et ta pratique ressemble à quoi ? à un baiser à L'Arlequin ?

Pouruqoi me rappellait-il cette scène ridicule ? Il était mal placé pour me charrier.

-Pouruquoi pas ? En tout cas c'st mieux que el sparoles d'un admirateur virtuel. QU'est ce qui me prouve que tu existe vraiment ?

Silence puis il a répondu:

-Ton coeur.

Et il a raccroché.

-grrr, je déteste quand il fais ça je serait capable de l'étranglé ! qu'est ce que t'en pense ? pourquoi il ne veut pas me rencontrer ?
-Peut être parce que c'est un malade
-Comment ça ?
-Tu sais ce genre de types qui n'aiment les filles que de loin et il paniquent dès qu'elle s'approchent trop près.
-Ca existe ?
-Bien sûre.
-Tu veux dire qu'el n'attendrait pas de relation concrète ? Je n'y crois pas. Si je pense au garçon du bus il n'a sûrment aucun problème pour aborder les filles. Au contraire, il a un vrai sourire de tombeur.
-C'est peut être pas lui ton admirateur. on en sera plus demain !

Le reste du temps on a feuilleté des magazines et regardé la télé.

Quand j'ai essayer la perruque blonde de que vic avait approté du salon de coiffure de sa mère j'ai soudain douté du bien-fondé de notre action.

-Pourquoi on fais tout ça ? Je susi heurese comme ça. Peut etre il faut pas chercher à en savoir plus ?
-Tu en a de droles d'idées, ça te convient vraiment ? sois honnete ! comme tout le monde tu cherches la tendresse. Et ça ton incconu ne peut pas te l'offrir. Ne me dis pas que tu as peur d'un garçon en chair et en os !
-Pourquoi je devrais être plus heureuse en découvrant son identité ? Pourquoi veux-tu qu'un mec tombe amoureux de moi ? Tu est mille fois plus belle que moi. Pourquoi un garçon correct tomberait amoureux d'une fille dans mon genre ?

Le lundi matin, l'excitation m'a coupé l'appétit. J'ai juste réussi à descendre quelques gorgées de thé. Vic, le calme personnifié, engloutissait toast après toast.

-Allez, faut qu'on y aille sinon va rater le bus !

Malgrès tous mes scupules, j'ai enfilé la peruque blonde, je me sentais pas a l'aise du tout.

-On dirait la Belle au bois dormant ! s'est exclamée ma petite soeur.

Ah! Non d'un buisson d'aubépines ensanglanté ! Je ne pouvais pas me balader avec cette tête ! Une blonde aujourd'hui chercher plus à ressembler à Britney Spears ou Cameron Diaz qu'à la Belle au bois dormant...

-Ta soeur n'a pas les bonnes références, c'est tout.

Heureusement qu'elle n'avait pas dis Miss Piggy...
Je me suis un peut détendue en approchant de l'arrêt du bus.

-C'est lui, ai-je murmuré, la grand aux cheveux blonds.
-Oh! il est pas mal...Si t'en veux pas, je suis preneuse !
-Je te l'interdit ! Contente toi de le garder à l'oeil. Je vais m'asseoir à une autre place. Il ne faut pas qu'on nous voit ensemble.

Je me suis assise au fond du bus, je jetteais de temps en temps des coups d'oeil dans sa direction. Il avait semblé chercher quelque chose du regard quand i lest monté. Peut-être il s'agissait de moi ? Il a sorti son portable de sa poche et a tapé quelque chose. J'ai regardé mon portable. Un message esst arrivé. J'ai lu mon message.

Bonjour ma gazelle, je veux te rencontrer. Tout de suite

J'ai regardé le type du bus. Il souriait en regardant son portable. Il se moquait de moi ? Et si il vennait vers moi ? Si il m'avouait que c'était lui ? S'il s'attendait à ce que je l'embrasse sur le champ ?
Vic s'est approchée et s'est assie près de moi.

-Il t'as envoyé un message ?

Je lui ai montré, elle a souris.

-Il est compliqué, ce mec !

J'ai soupiré. Je regardais le beau garçon aux yeux incroyablement bleus. Il a rangé son portable et regardait par la fenêtre. Quand le bus s'est arrêter devant notre lycée j'ai demandé à Vic:

-Tu crois que ça vaut vraiment la peine qu'on séche pour ça ?
-Sûr !

Nous sommes donc réstées dans le bus. A son arrêt, i lest descendu au dernier moment et nous avons preque risqué notre vie pour sortir. Nous nous sommes glissées entre els porte qui serefermaient déjà. Vic était dehors, moi, j'essayais encore de me dégager quand j'ai ressenti une drôle de sensation. Le bus a redémarré et, avant que je comprenne ce qui m'arrivait je me suis retrouvée... scalpée.

-Déborah ! a crié Vic, horrifiée.

Je me suis retournée et j'ai vu le bus partir la perruque blonde était coincée dans la porte volant au vent. Et en voila une qui ne reverrait pas de si tôt le salon de coiffure.

-Ma mère av me tuer ! a gémi Vic

Je voulais bien la croire. Il me semblait désormais difficile de poursuivre notre filature, mais Vic était d'un autre avis.

-On continue ! Il faut juste etre un peu plus prudentes.
-Pouruqoi il est déscendu ici ? Il y a pas d'école dans le coin.
-Si regarde ce grand batiement en béton.

Le garçon y est entré. Dans la cour, il s'est arrêté et a sorti son portable. Il était assez loin de nous.

-Je m'approche, a dit Vic, il me connait pas.

Elle est partie et la sonnerie de mon portable à retenti. J'ai répondu.

-Oui ?
-Seul celui qui connaît l'amour sais ce que j'endure.
-Non !
-Tu n'as donc aucune pitié ?
-Pourquoi ?
-Parce que je suis ton Roméo.
-Tu as bu ou fumé ? ai-je demandé méfiante.

Il n'avait pas l'air de quelqu'un qui venait de prendre un bon petit déjeuner.

-J'envie le garçon qui t'as prise dans ses bras en boite et il t'as embrassé.

Il était jaloux en plus.

-T'as raison. Les morsure, c'est agéable !
-Tu me morderais aussi ?
-Qui sait ?

La discussion s'est arrêtée là. J'ai vu le garçon ranger son portable. Vic est arrivée essouflée.

-Il t'as appelée ?
-Oui mais...
-Il n'y a pas de Mais. C 'est lui ! Je l'ai vu de mes propres yeux !
-Ca pourrait aussi bien être quelqu'un d'autre.
-Ca concorde, tu as décroché au moment où il a appelé et raccroché quand il a atteint. C ne peut pas être le harsard.

Ca m'avait l'air de tenir debout. Théoriquement. Au fond de moi je n'étais pas encore convincue.

-Il t'a vue ?
-Non il était plongé dans sa conversation. Qu'est-ce qu'i lt'as dit ?


Je lui ai raconter.

-<<Romeo>>, <<Enduré>>... Il a de drole de façons de draguer. Si tu veux mon avis, laisse tomber ce mec, même si il ressemble à une jeune premier. Il doit lui manquer une case.

J'étais allongée sur le canapé et je réfléchissais. Est-ce que je pouvais aimer un type qui ressemblait à une star mais auquel il manqait une case ? Devais-je lui dire << Arrête le achich et reviens sur Terre ?>> Et si ça n'était pas le cas ? Si c'était vraiment une âme romantique et torturée ?
Le portable à sonné.

-Oui ?
-Dis moi que tu m'aimes.
-Quoi ?
-Tu m'aimes ?
-Mais je te connais pas !
-Et bien, rencontrons nous.
-Où ?
-Viens me rejoindre dans le clocher de l'église.

Il pétait les plombs !

-Tu dis n'importe quoi !

C'était à peinne pensable que le garçon qui me draguait depuis des semaines et qu ise décidait enfin ç me rencontrer choisisse le clocher de l'église. Moi qui avais le vertige dés que je décollais d'un mètre du sol !

-Ca me parait pas être l'idée du siècle !
-Viens à ton balcon, ma Juliette.
-Paron ?
-Sors sur ton balcon tu verras ton roméo.

Il avait raison on perçevait le clocher depuis ma fenêtre. J'ai courru jusqu'au balcon.
On voyait la partie superieur de l'église, le clocher qui s'élevait dans le ciel bleu avec une girouette à son sommet. Il était doté d'une sorte de eptite terasse. Là, j'ai aperçu une ombre. Bien sûre je ne distnguais pa sles formes. Je voyais juste qu'i ls'agissait d'une personne. L'ombre à fait u nsigne en ma direction.
Si seuelement je pouvais mettre la main sur mon télescope ! D'habitude i ltraine toujours dans ma chambre parce que les nuits de pleine lune la famille venait voir mon arpent de lune que mon oncle Richard avait soi-disant acheté auprès d'un agent immobilier extra-terreste. Il me l'avait acheter à l'occasion de mon 14eme anniversaire. Certificat de vente et acte de propriété. Le terrain était à gauche d'un des grands cratères.
Impossible de mettre la main sur le téléscope. J'avais laisser passer la chance de découvrir qui il était.
Mon portable à de nouveau sonner.

-Allez ma belle dis moi que tu m'aimes. Ne serait-ce qu'un peu. Une goutte d'amour pour ton Roméo assoiffé !

J'étais effrayée. Comment pouvait-il m'aimer sans me connaitre ? Comment pouvais-je lui répondre ? Je ne savais rien de lui. Sauf qu'i laimait bien télephoner et se débrouillait plutôt bien pour asurrer des mots d'amours au bout du fil, qu'il était un peut bizarre et ressemblait à une star.
Mais pourquoi il m'avait donné rendez-vous au sommet de l'église ? Je n'arriverais jamais à monté la haut. Rien que d'y penser le genoux tremblaient. Pourquoi ne pas donner un rendez-vous normal ? Dans un parc par exemple.
J'ai regardé mon portable.

-Tu viens ? Je t'attends

Le souhait de se rencontrer n'était pas nouveau mais c'était la première fois que c'était lui qui l'exprimait.

-Heu... C'est à dire que...

La persrspective de gravir les marches menant au clocher me paralysait. En même temps je ne pouvais pas le laisser tomber. Il avait l'air au plus mal. Il avait dû réfléchir beaucoup avant de me proposer ce rendez-vous. Pêut être la jalousie l'avait décidé. Peut être avait-il peut que quelqu'un le double. Dieu seul sais ce qu'il était capable de faire si je lui posais un lapin. Et si il se jettait dans le vide ?
Peut être il accepterais un autre lieu de rendez-vous.

-Tu veux à tout prix qu'on se rencontre en haut du clocher ?
-Oui. La vue y est magnifique.

Je regardais le clocher. C'était non seulement très haut maus aussi un peut isolé.
Et si le type était un pervers qui me tendait un piège et me précipitait dans le vide ? J'ai frissonné. Et si il sagissait d'un assassin qui attirait les jeunes filles dans les lieux déserts pour les tuer ?

*Déborah, je confonds pas film d'horreur et réalité. Regarde les choses froidement. Ce type est amoureux de toi. Il te drague depuis des semaines sans relâche. Il veut juste te rencontrer et pas te jetter par-dessus le clocher d'une église ! Tu as la possibilité d'y aller et de savoir enfin de qui il s'agit. Tu peux aussi lui avouer que tu as le vertige. Dans le premier cas, la romance téléphonique prendra fin. Dans le deuxièle elle durera encore un peut.*
Il a interrompu le cours de mes pensées.

-Alors ? J'attends.

J'ai soupiré. OK. Mettons fin à tout ça. Si ça doit être un clocher et si je dois me sentir mal et m'évanouir dans ses bras et ben tant pis.

-J'arrive, ai-je répondu, pas encore complètement persuadée d'avoir fait le bon choix.

Il a raccroché aussitôt. Je détestais cette manie. Il fallait désormais que j'y aille. J'ai jeté un dernier coup d'oeil en direction de l'église. L'ombre avait disparu. Peut être de l'autre côté du clocher.
Avant de partir j'ai appellé Vic.

-Tu ne va quand même pas faire ça ! Tu sais rien de lui. C'est peut être un taré ! Rappelle-toi le poème qu'il t'as envoyé à L'Arlequin.
-C'était à cause de notre look gauthique. C'était une blague. Toi même tu en a rigolé.

Je n'arrivais pas à croire qu'il me veuille du mal. Il était trop drôle. Il était romantique, un peut excentrique mais pas dangeureux.

-Je ne crois pas que quelqu'un puisse cacher sa vraie personnalité comme ça pendant des semaines. Si c'est le garçon du bus, je ne vois vraiment pas ce que j'aurais à craindre.
-Quand même. Je le crois capable de faire des folies. Choisir un clocher comme premier lieu de rendez-vous c'est déjà assez bizarre. J'éspère que tu sais ce que tu fais.
-Ah Victoria ! ai-je soupiré. En fait je ne sai spas vraiment. Mais si je n'y vais pas je n'aurais peut être jamais la chance de le revoir qui sait. En fait je voulais juste te prévenir... mais si tu veux venir... par sécurité... au cas où je me sentirais mal...
-Pourquoi tu te sentirais mal ?
-Tu sais j'ai le vertige !
-En plus ! Je rêve ! Tu ne pouvais pas choisir plus simple ? J'arrive. Appelle Brit. On sera pas trop de deux pour veiller sur toi.

Bonne idée c'était bon d'avoir des vraies amies. J'ai appelé Brit.

-Je suis dans mon bain, mais j'arrive.
Elle avait également très alarmée. Je l'ai entendu littéralement bondir hors de la baignoire.

-Attends moi n'y va pas toute seule !

Maintenant que je pouvais compter sur mes deux amies, j'étais soulagée. J'ai regardé le clocher. Aucune trace de mon admirateur mais je savais qu'il s'y connaissait en matière de surprises.

Mes deux amies m'on accompagné jusqu'au premier étage, j'ai préféré faire le reste toute seule. J'ai inspiré profondément. Ma curiosité était désormais plu grande que ma peur du vide et de lui.
J'ai aperçu la lumière du jour au bout des escaliers. Le soleil m'a éblouie quand je suis arrivée en haut. Mes genoux tremblaient, j'ai regardé autour de moi.
Qui j'allait découvrire ? Je me suis approchée du balon en fer forgé et j'ai commencer à en faire le tour. Je me sentais mal.
Dans ma tête j'imaginait quelqu'un qui avait les yeux de matthieu et le sourire du garçon du bus. Il tiendrait un bouquet de roses rouges dans les mains et aurait attaché à la rambarde du balcon un ballon en forme de coeur sur lequel il serait écrit <<Je t'aime>>.
J'ai stoppé net. La porte par laquelel j'étais arrivée était devant moi, j'avais déjà fait tout le tour du clocher.
J'ai jetter un oei lau dessus du balcon et je me suis sentie aussitôt mal, mes genoux flageolaient, mes mains tremblées, des gouttes de sueur ont perlé le long de ma colone vertébrale.
J'ai refait le tour encore une fois. Pas la peinne de me poser trente-six mille questions, il n'était pas là, disparu, envolé.
Mon regard est tombé sur un graffiti, l'encre était fraiche, ça ne pouvait être que lui.
Bousculée par mes sentiments contradictoires j'ai lu: My lovely, there's place for us - somewhere.

-Victoria ! ai-je crié, m'agrippant à une pierre.

En moins de temps qu'il faut pour le dire mes copines étaient là

-Ca va ?

Elles avaient l'air soulagée de me retrouver saines et sauve.

-Alors où il est ?

J'ai haussé les épaules et fait un signe en direction du graffiti.

-J'en sais rien, il a disparu.

Vic m'a regardé bizarrement.

-Qu'est ce qu'il veut dire par <<there's place for us>>?

J'ai haussé de nouveau les épaules, je ne voyait pas. Je me rappelais le soir où j'avais joué cette mélodie au piano et où il s'était mis à chanter. Peut être c'était juste une aspiration, une aspiration à un lieu idéal om nous pourrions nous retrouver? J'ai gardé mes réflexions pour moi.

Apparamment il désirait désormais qu'on se rencontre, mais sans doute il avait peur lu iaussi. Il souhaitait surment que le premier rendez-vous soit innoubliable et le clocher ne lu isuffisait pas.
Je me devais de le rassurer. Il ne fallait pas qu'in finisse comme se batisseur arabe qui avait décidé de ne voir sa femme que le jour où il aurait construit le plus beau palais de la Terre. Sa femme à vieilli et lui est mort le jour où il a posé la dernière pierre de son palais.. Il ne l'a jamais vu.
Quand il m'a appelée le soir, je ne lui ai posé aucune question, je ne lu iai fait aucun reproche. je lui ai juste raconter cette histoire.

-Je vais y réfléchir, dors bien ma Schéhérazade.

J'ai mis un CD, je me suis allongée pour écouter
Let me be the one for you...

voila c'est bon j'ai finni mon kiwi (il était bien acide)

Le lendemain j'ai pris le bus avec des sentiments partagés. QUand le garçon est monté j'ai tourné la tête.
C'était bizarre d'être si intime avec quelqu'un au telephone et d'avoir si peur de le rencontrer.
Quand je suis déscendue du bus j'ai croisé le regard du garçon, il m'a sourit.

-Au fait, qu'est ce qu'elle a dit ta mère pour la perruque ?
-Elle n'a manifester aucune compréhension, selo nelle je doit traveiller un mois sans être payée pour la remboursé.
-C'est injuste, ne t'inquiète pas je vais t'aider à la remboursé c'est ma faute.

Nous avons traversé la cour, nous somme spassées devant le groupe des garçons parmis les quels se trouvait Seb.

-Débo chérie, m'a interpellé Seb, ça te dirait une soirée à L'Arlequin ? Le prochain <<Lundi Bizarre>>
-Non merci j'ai eu mon lot de bizarrerie en ce moment.

Nous avons continué notre chemin pour éviter d'entendre les autres bétises qu'ils avaient à nous dire. Je les plaignais de n'avoir rien de mieux à faire.

-Dire qu'on part avec eux au ski, ai-je soupiré.
-Tous ne viennent pas m'a consolé Brit
-Oui mais les pire serons là, en particulier Seb.
-Heuresement il y aura des personne interessantes hein ? Un beau sportif par exemple. Matthieu est de la partie non ?
-Je crois. Au fait on ne pourrait pas en apprendre un peut plus sur lui ? Qui il est à part le champion du marathon ?
-Pas de problème, se sont exclamée mes deux amies en même temps.

J'ai aussitôt regretter de le avoir fait par de mon souhait. Elles allaient remuer ciel et terre pour obtenir des détails.
Malheuresement les première nouvelles n'étaient pas régouissantes.

-J'ai parlé à Carmen, son frère est dans la même classe que Matthieu, elle dit qu'il sort avec Alex.
-N'importe quoi, est intervenue Brit, il a une copine en dehors du lycée.

Je suis intervenue avant qu'elle ne se disputent.

-C'est pas grave, quelle que soit la verité il n'est pas libre. Dommage c'était trop beau pour etre vrai.

Mes deux amies m'ont regardée avec compassion

-Ma pauvre t'as l'air accro
-Il te reste le barçon du bus.

A midi je suis allée déjeinée avec Vic avant la répétitio nde la chorale. J'étais traquillement assise sur un banc entrin de manger mon sandwich bio quand j'ai fais une recontre du troisème type. Le mec du bud vennait de sortir du magasin d'en face. J'ai avalé de travers et je me suis mise à tousser.

-Qu'est ce qui t'arrive ?
-C'est lui ! Qu'est ce qu'il fait là ?
-Viens on le suit.
-Mais il va me reconnaitre.
-Attention ! il viens vers nous.

J'ai attiré Vic vers moi, ses cheveux me chatouillaient le nez. J'ai éternué, le garço ns'est tourné vers nous, j'ai enfoui ma tête dans ses cheveux. Il a surment dû nous prendre pour des lesbiennes mais l'important c'est qu'il ne me reconaisse pas sinon nous pourrions plus le filer.
Il a continuer son chemain.

-On y va ?

La soif d'aventure de vic était insatiable. Le garçon est entré dans le centre commercial et à emprunter les escalators. Il a disparu dans un caffé Itlaien au premier étage.
Nous sommes entrées dans un magasin juste en face. J'ai fais semblant de regarder les tailles.
Il s'est dirigé sans hésiter vers une des tables. Une petite et jolie blonde l'attendait. Elle lu ia sourit. Il s'est penché vers elle et l'a embrassé.
J'en ai eu le souffle coupé.Il a passé ses bras autour d'elle et l'a embrassé de nouveau.

-Le salaud ! ai-je dit.
-C'est peut être sa soeur.
-Et toi ma siamoise. Tu embrasserais ta soeur comme ça toi ?
--Il aime deux femmes à la fois !

Je n'avais pas envie de me faire des illusions plus longtemps.
-Vic on s'est trompée c'est tout.

Plus que deux ou trois chapitres et c'est finni

Nous sommes partie au ski un soir de début du mois de décembre. Le car était rempli d'élèves. Trois profs nous accompagnaient: Sprinter, Mr Berti et Mme Pieri une autre prof de sport. Deux chauffeur se relayaient pour la nuit.
Alexia portait une tennue de ski dernier cri, elle avait des boots super chères et des lunettes Chanel. Pourquoi elle les mettaient en pleine nuit ?

-Peut être pour se proteger de la lune ? A raillé Vic.
-La lune est dans son dernier quartier. Ca peut irriter les nautres sensibles, a commenté Brit.
-Tu veux dire qu'Alexia est une nature sensible ?

Il était dix heure et demi, nos parents étaient encore là. Le car allait partir, i lrestait encore quelques paires de ski à ranger.
J'ai réussis à me trouver une place près de Vic et j'ai fais un dernier signe de la main à mes parents. J'ai décidé de dormir le plus tôt possible pour être fraiche le lendemain matin.
J'avais légérement mal au ventre, je ne pouvais pas m'endormir sans savoir où Matthieu était assis. Il était là avec les autres terminales, il riait à la blague d'Alex. Sortait-il avec elle ?Cette idée me déplaisait. Je me suis étonnée de la rapidité avec laquelle mon regard sur les garçonsen général, et sur celui là en particulier.
Mes conversations cotidiennes avec mon admirateur m'avait fait voir els garçon sous un autre angle. Je me rendais compte qu'il pouvait offrir à une fille des chose que les gamins de notre classe était incapable de donner.

-Philippe tu peux enlever ton genou de mo nsière ? Tu me fais mal au dos, s'est pleinte Vic

J'avais le même problème.

-Seb tu peux mettre tes gros sabots ailleur ? ai-je crié dans mon balladeur.

Il a souri d'un façon insolente.

-Tu me donne quoi en échange ? Le plus gros baiser du monde ?
-Non la plus grosse morsure de ta vie.
-Seb laisse Débo tranquille son coeur est pris depuis longtemps, est intervenue Vic.

Pardon ? J'avais bien entendu ? Mon coeur était déjà pris ? Par qui ?

-Qu'est ce que tu racontes ?
-Je trouvais que c'était un bon moyen de te débarasser de lui.
-Mais pas n'importe comment ! Si il en parle plsu aucun garçon ne va s'interesser à moi.

Les discussion se sont arrêtées progressivement. Bientot on entendait que de légers ronflement. Morphée avait bien son travail.
Vic dormait depuis longtemps, la tête contre mon épaule. J'ai fermé les yeux.
Mon portable m'a signalé un message.

La lune brille
et passe au dessus des toits
du tien et du mien
Bon séjour sur les psites, ma belle.

C'était adorable dommage que je ne pouvais pas lui répondre.
Quand je me susi réveillée le soleil était en haut, nous étions passé par la Suisse.

-Oh là là ! la tête que j'ai ! a gémis Alexia et tapotant sa permanente.
Et zoup ! elle a remis se slunettes.

-C'est les glassiers qui l'éblouissent.

Le bus s'est arrêter sur une aire de repos au bord de l'autoroute.

-Petit déjeuner pour tout le modne à annoncé le chauffeur.

Nous nous sommes d'abord précipités sans les toiletees. C'était un peut plus agréable que les sois disant commodités du car.
On nous a distribué du caffé et on a manger les petits déjeuners préparés par nos familles.
De bonne huleur et reviforés, nous avons repris la route vers les Alpes.
Nous sommes arrivés vers midi. Les bagages étaient transportés en cabine par une camionette qui les mennait jusqu'au chalet. De notre côté nous avions mis une demi heure de marche avant d'atteindre l'hébergement.

Le chalet avait une allure très rustique, apparemment, il avait été utilisé par des quantités d'élèves avant nous. La propreté laisser à désirer.

-Bah ! C'est immonde ! s'est exclamée Alexia.
-Va voir ailleurs. C'est peut être mieux dans leq autres chambres, au-je proposé.

Alexia n'était pas revenue, Brit, Vic et moi aons pu avoir notre chambre pour nous toutes seules.
Je ne suis pas maniaque du tout mais quand Vic a soulevé une couverture pour faire son lit et j'ai distinguée de grosses taches marrons, j'ai failli me sentir mal.

-Des dénérations d'élèves ont déjà dormis dedant, a dit Vic en faisait la moue.
-Elles n'ont pas été lavée ? a demandé Brit.

Vic à approché son nez

-Si, sa sent l'assouplissant et le désinfectant, mais le vomi ça laisse des traces...

Quelques heure plus tard j'aillais moi aussi avoir l'honneur de laisser quelques traces à ma postérité.
Le couple qui s'occupait du chalet avait gentiment préparé une sotre de vin chaud pour fêter notre arrivée et pour nous réchauffer. Sprinter, après l'avoir gouté, a rajouté des ingédients et pas la même occasion élevé sensiblement le deré d'alcool.
J'ai bu deux verres tellement j'avais soif, le gout n'était pas désagréable.
Je me suis rendu sur la véranda, la vue était magnifique, je prennait conscience de l'endroit où je me trouvais, j'étais en haut de montages gigantesques !
A cette pensée, mo nestomac s'est retourné. J'ai fait un pas en arrière et je me suis précipitée vers les toilettes. Je suis tombée nez à nez avec Sprinter alors que je tennais à peine sur mes jambes flageolantes.

-Oh là ! Ivre depuis le premier jour ?

Je me suis écartée, j'y tenais plus, j'ai mis ma tete dans la cuvette et j'ai vomi tout ce que j'avais dans le ventre.
Sans aucune pitiée il m'a demandé de nettoyer <<toutes ces cochonneries>> et m'a avertir:

-La prochaine fois ne touche plus à l'alcool compris ?

Je l'ai regardé faché contre lui, c'était de sa faute il n'aurait pas dû ajouter autant d'alcool !
Les jours suivants m'ont prouvé qu'il était vain d'éspérer un punch moin alcoolisé. Srpinter avait besoin d'un remontant chaque soir et il n'hésiter pas à rajouter de bonnes rasades dans le liquide rougeâtre. Je n'ai pas était tenté de recommencer l'experiance.
Mme Pieri voyait d'un mauvais oeil les manières de Sprinter mais c'étai tune bonne nature et elle en faisait pas un plat.
La consomation d'alcool de Sprinter n'améliorait malheureseument pas ses compétances pédagogiques Il avait pris en charge le groupe des débutants et il passait son temps à nous crier dessus. On se serait crus à l'armée. Nous étions selons lui <<aussi lourds que des sacs de pomme de terre>> et nous avions <<des têtes d'enclume>> et il n'avait jamais rencontrer d'élèves <<plus nuls>>. Il disait à Alexia que c'était une <<Dinde>>, Seb <<une catastrophe embulante>> et moir une <<hystérique>>.

-Rentrez les skis ! On plie les genoux ! Freinez! FREINEZ !

Trop tard, Alexia la dinde glissait à toute vitesse dans sa direction. Ils sont tombés tous les deux. Nous nous sommes éxplosé de rire. Des gouttes de sang tombaient du nez de Sprinter. Ila ressemblais à blache neige. Malheureusement, l'humeur de Sprinter n'était pas celle de la douce princesse.
Mes début ne furent pas brillant non plus. J'étais complétement empotée avec ces londs trucs aux pieds qui ne voulais jamais allez dans la direction que je souhaitais. Ils s'écartaient en permanance l'un de l'autre et j'avais peur de tomber en grand écart. J'ai passé plus de temps à manger de la neife qu'a écouter les instruction de mon prof.
Aloes que je me relevais péniblement, mon regard est tombé sur le sommet du Cheval Noir. On y trouvait des pistes noires. Je comprennais pas que l'on puisse déscendre avec plaisir des pentes aussi raides.
Seb m'a dépassait les ski à peut près parallèles et il m'a tiré la langue. Soudain, i la glissé sur une petite bosse et l'un de ses ski s'est envolé, l'autre s'est planter dans la neige. Sprinter a accouru. La jambe de seb était bizarrement retournée mais il s'en est sorti indemne pour mon plus grand désarois. Sprinter s'est msi à être vulgaire.

-Comment on peut être aussi con ? Même dans les fils ont voit pas des imbéciles comme ça !

En fin d'après midi nous sommes retournés au chalet, épuisé et completement démoralisés. Ceux qui avaient déjà skier était partis avec Mme Pieri et Berti et nous attendaient. Ils buvaient un chocolat chaud et semblaient d'exellente humeur. Matthieu était assis entre Alex et Jessica. Quand nos regards se sont croisé, j'ai rougis jusqu'aux oreilles. J'ai préféré me retirée dans ma chambre.Je me suis jetée sur mon lit, si je raconter à ma mère la façon dont nous traiter Sprinter elle le remettrais sûrement à sa place. J'ai pris mon portable.

-Maman !
-Ma fille ! Commentnça va ? vous avez fait bon voyage ?
-Bon voyage oui...
-Tu manges bien ?
-Oui...
-Ne skie pas trop vite et fais attention à toi.
-Oui
-Papa et Léa t'embrassent. Si tu as besoi nde quelque chose appelle nous.
-Oui, je ...
-Bonsoir ma fille et à bientot.
-Bye (cette mére c'est tout le contraire de la mienne)

Etait-ce ça le soutien moral dont j'avais besoin ?
Mon portable à sonné. Ma mère avait surement dû remarqué que quelque chose n'allait pas. L'instinct maternel ne trompe jamais.

-Maman ?
-Alors, ma reine des neiges ?

Nom d'un ours mal léché !

-Ah désolé je croyais que c'était ma mère, euh je veux dire j'attendais un appel de ma mère.
-J'ai compris.
-Comment sont les cours ?
-Fantastique, je me susi jamais autant amusée, même un manchot ferait mieux.

Il a eu l'air inquiet.

-Comment ça ?

Et sans réfléchir je lui ai fait part de toute ma frutration.

-Je ne suis pas douée pour le ki, je m'en doutais, je déteste ça, je déteste tout ici: le chalet, les montagnes et surtout notre fada de prof qui se croit à l'armée.
-Oublie le, les premiers jours sont le splus durs, tu va t'habiter et ça deviendra un vrai plaisir.
-Tu parles d'expriance ?
-Et comment.

Et il a raccrocher.
Vic et Brit sont entrée dans la chambre.

-Tu es là, on te cherche partout. Il ont servi le repas, dépéche toi les goiffres vont tout bouffer.
-J'au une de ces dalles, ça doit être l'air de la montagne qui me donne autant les crocs, s'est exclamée Brit.

Quand Philou a passé la tête par la porte, elle s'est levée d'un bond et à disparu avec lui. J'étais presque certaines qu'elle l'avait suspecter d'être mon admirateur afin d'avoir un bon pretexte pour se rapprocher de lui.

Dès le lendemain, on a commencer à compter les bléssés. Moi aussi j'ai eu mon lot de bosses.
J'étais seule résponsable de ma chute pourtant j'en ai voulu à Sprinter qui ne s'est même pas donné la peine de nous rappeller les bases de ce qu'on avaient appris la veille.
Aussi, au lieu de mettre le tirre-fesses entre mes cuisses et de me tenir à la barre, je me suis assise dessus comme une balançoire. J'ai remarqué mon erreur tout de suite mais il était déjà trop tard, je suis tombée lourdement sur la piste. Alexia qui était derrière moi à commencer à hurler hystériquement et m'a foncé dessus pointe de skis dans les jambes. Elle m'a entrainer sur quelques mètres et nous avons roulé toutes les deux dans la neige.
Rien de plus difficile que de dégager bos skis et nos bâtons qui étaient emmêlés les uns dans les autres. Nous étions engoncée dans nos combinaisons et nos mouvement étaient maladroits.
Nos camarades ne se sont pas privés de se moquer de nous, heureseument, l'un d'eux à eu pitié de moi. J'essayé de me relever pour la dixième fois quand quelqu'un m'a tendu la main. J'ai relevé la tête et j'ai vu les yeux bleus de Matthieu. Il m'a soutenue le temps que je démêle mes jambes et que je mette mes skis en positions parallèle.
Dieu tout puissant ! Pourquoi fallit-il que je me ridiculise devant lui ?
Comme je n'étais pas plus avancée une fois sur mes ski, je n'ai pas eu d'autre solution que de le suivre jus'a l'entrée du tire-fesses. Sprinter de son côté est vennu au secourt d'Alexia.

-Quelle dinde, bon Dieu quelle dinde.

J'ai remercié le ciel de m'avoir envoyé le bon sauveteur. Matthieu m'avais également sauvé des remarques syniques de Sprinter.
Quand nous nous sommes retourvé en bas, j'ai pardonner à Alexia son agressivité à mo négard. La pauvre ! J'aurais pas voulu être à sa place.

-Comment tu t'es débrouillée pour tomber d'un truc pareil ? C'est quand même pas compliqué.

Quand deux jours plus tard elle s'est cassé deux côtes et la clavicule j'ai trouvé que la punition pour son arrogance était plutôt rude...
Alexia n'a pas été la seule victime de nos expéditions catastrophique. Sprinter à entrepris avec le groupe plus avancé une excursion sur les pistes noires dès le troisième jour. Il n'a rien trouvé de plus exaltant que de les faire passer par le terrible <<Tunel Noir>>. Après cette descente la salle à manger du chalet ressemblait à un hopital: sacs de glace sur les foulures, iode sur les égratinures. J'avais moi même gardée quelques traces de ma chute.

-Regarde mon genou, ai-je dit à Vic.

J'avais un enorme bleu qui est devenu vert-violet entre temps.
Mais notre victime la plus spectaculaire à était sans conteste Alexia, un hélicoptère était venu la chercher sur les pistes.

Le lendemain, la neige tombait à gros flocons. Nous étion bloqués dans le chalet. Mes amies et moi nous sommes retirés dans notre chambre. C'était pas l'endroit le plus agréable mais nous n'avions pas envie de passer la journée avec les tarés de notre classe. D'autres filles sont vennues nous rejoindre qui elles aussi avaient marre de leur compagnie. Si on pouvait appeller ça de la compagnie ! Même Mme Pieri s'st jointe à nous.
Quand nous nous sommes pleinte de la rudese de Sprinter elle a proposé de prendre en charge le groupe des débutants. Enfin une lueur d'éspoir ! Je commencer à avoir peur de me lever le matin. Il me traumatisait tellement que j'étais incapable de surveiller mon équilibre. Peut etre allais-je enfin connaitre autre chose que les chutes et le gout de la neige dans ma bouche.
Quand je me suis couchée j'ai regardé mon portable et j'ai souri.

Les biches prient la nuit
Ecoutes-les
Elle plient leurs pattes frêles
Je t'aime

Le lendemain matin, Mme Pieri a proposé que nous déscendions la piste verte.

-Une promenade un peu longue va vous permettre de ressentir e que peut être le plaisir de skier, nous-a-t-elle encouragés.

Elle avait raison. La seule chose qui m'a effrayé a été de descendre une pente plus raide que d'habitude, je tremblais comme une feuille comme si j'avais rencontré le yéti en personne ! Pourtant je suis arrivée en bas sans tomber.

-Génial ! m'a encourgé Brit.

J'en revenais pas, j'avais aimé ça ! Nous nous sommes arrêtés une heure dans un petit village où nous avons découverts un magasin dans lequel on vendait du fromage à raclette et louait tout l'équipement.

-Qu'est-ce que vous en pensez ? Ca pourrait être agréable un soir.

Mme Pieri était enchantée par l'idée. En quelques instants nous nous sommes donc retrouvés à fromage et la machine à raclette.
Nous avons été acceuillis avec enthousiasme. On a organiser une veritable petite fête.
Pour couronner le tout j'ai réussi à me trouver une petite place près de Matthieu au coin du feu. Mon bonheur était parfait. Quand i ls'est informé de la guérison de mon genou, il y avait tellement de chaleur dans son regard que j'ai présque cru qu'i létait sincérement inquiet. Il ne fallit pas que je m'emballe. Il devait faire partie de ces garçons qui gégagent un tel charme et une telle douceur que toute celles qui les approchent ressentent la même chose que moi. Soupir.
Quand les fumeurs et les buveurs ont commencé à gagnché l'ambiance toutes les filles se sont retrouvées dans notre chambre.
Nous ne nous sommes pas couchée tard, la fatigue nous à emporté. Le portable à sonné alors que je m'appraitait à entrer dans un profond someil.

-Deux traces dans la neige, la tienne et la mienne, m'a murmuré mon admirateur. Alors, ça va mieux ?
-Oui, on s'amuse bien, ça serait bien si tu y étais.
-Je suis peut être plus proche de toi que tu ne l'imagine, ma petite reine des neiges. La prochaine fois que tu t'emmêles les pincseaux avec tes ski pense à moi, je te viendrais en aide cette fois ci.

J'étais trop fatiguée pour essayer de comprendre ce qu'il me disait. Je n'ai même pas pensée à lui demandé où il avait sû que je m'étais emmêlé le skis.

Nous étions déjà la veille du départ, les professeurs estimaient que nous étions désormais capables de faire une longue excursion tous ensemble. Derière le Cheval Noir se trouvait le Pic du Croisant. Comparé aux rête aiguës du Cheval Noir, il avait des formes plus rondes et moins menaçantes.
Nous devions monter tous ensembles, commencer la descente emprunteraient la piste noire et les débutants rentraient tranquillement par la piste verte.
Le temps était clair. Seuls quelques nuages restaient accrochés au sommet du Cheval Noir. L'ascension en télésiège était plutôt amusante le repas en haut des pistes était délicieux.
Nous avons entrepris la descente en début d'après-midi. Le soleil était caché par quelques nuages et un léger brouillard recouvrait la somet du Cheval Noir.

-Il faut partir avant que le brouillard s'installe. Je ne souhaite pas particulièrement faire une descente avec des débutants si le temps se gâte.
-On skie les uns dernière les autres d'accord ? Si le brouillard s'épaissit, veillez à ne pas perdre de vue la personne devant vous. Il ne faut pas briser la chaine.

C'est parti.
La visibilité était encore assez bone et j'avaiss pour la première fois l'impression de savoir skier. Ma peur avait complétement disparu. J'ai décidé de profiter pleinement de cette dernière sortie. Vic était devant moi. Elle portait une anorak gris clair. C'était pas une couleur facile à repérer mais, comme nous avions exactement le même rythme, je n'avais aucun mal à la suivre.
Soudain, un groupe de snowboarders a surgi sur notre droite. Il nous on envoyé des paquets de neige. Je ne voyait plus rien. Quand ils ont disparu j'ai perdu Vic de vue.
J'ai cherchée tout en continuant de skier, à ma droite quelque chose de gris se déplaçait. Ca devait être Vic. Nous étions à la hauteur de la crête qui reliait les deux pics. Le brouillard était de plus en plus épais. Il fallait que je fasse attention, je ne devais pas la perde de vue. La bifuraction vers la piste verte ne devait plus être très loin. Je me suis approchée de la forme grise qui skiait devant moi. Elle avait un sacré style. Comme la vue était de plus en plus mauvaise je ne faisais plus attention à la piste. Je suivais uniquement l'anorak gris des yeux. Soudain, la forme à disparu. Merde ! Une vague de panique m'a envahie. Je me suis tranquillisée en me disant que je parviendrais bien à suivre à un peu de brouillard sur une piste verte. Le soeil allait bientôt réapparaitre dans la vallée. J'ai continué, un peu rassurée.
Soudain, j'ai aperçu une petite bosse je je me suis élancée. Mon coeur s'est arrêter net. Instinctivement je me suis assise sur les fesses. Devant moi, une immense pente toute raide.
Je me suis relevée péniblement et j'ai regadé autour de moi. Je me trouvais sur une crête étroite. Deux côtes des ravins profonds à moitié plongé dans le brouillard. Et, à la place de la tranquille piste verte, je distinguais devant moi une surface raide couverte de bosses gigantesques. Je me suis appuyée sur mes bâtons.
Personne en vue à part deux skieurs chevronnés que je voyais apparaitre et disparaitre sur la piste. L'un des deux pourtait un anorack gris. Zut ! J'avais dû le prendre pour Vic. J'ai regardé la piste et je me suis mal sentie. J'étais incapable de la descendre.
Je me suis retournée et j'ai aperçut deux pancatres: Route traverse et Cheval Noir Lune indiquait la direction d'où je vennais, l'autre celle de la piste noire.
Que devais-je faire ? Revenir sur mes pas ? Non. Je n'osais pas repartir sur cette purée de pois. Mais je ne pouvais quand même pas déscendre la pante. Au secours !
Je n'avais pas d'issue, <<Adieu>> ai-je pensée. A cet instant le portable à sonné.

-Ma reinne des neiges t'es où ?
-Au bord de l'abime !
-Comment ça ?
-Je susi au bord d'un ravin à quelques dizaines de mètre de la piste la plus dangeurese de la région, je suis seule, j'ai peur. Je préfère en finir tout de suite et me jeter dans le vide. C'est insuportable d'avoir peur comme ça.
-Ne dit pas de bétises. Ne plaisante pas avec ces choses là.
-Mais je dis la verité ! comment veux-tu que je m'en sorte vivante ?
-Tu ne peux pas revenir en arrière ?
-Non dernière moi y a que du brouillard. J'ai peur je ne vais pas m'en sortir saine et sauve. Y a trop de bosses. Et puis la pente est trop raide. Tu peux pas imaginer combien la piste fait peur d'en haut.
-J'imagine bien, je sais ce que tu ressent et je sais aussi que tu vas y arriver.
-Jamais !
-Si je vais t'expliquer comment faire suis mes conseil.
6Je vais me casser le cou et on ne se sera jaamis vu ! Pourquoi tu n'est pas résté sur le clocher ? Yu n'a laissé qu'un graffiti idiot. C'est trop tard Roméo. Tu ne verras ta Juliette que dans un autre monde.
-Allez tu es sportive, tu as donné la preuve de ta bonne condition physique pendant la course, garde la tête froide et ne panique pas.
-Ah tu me fais rire, est-ce que tu sais au moins que j'ai le vertige ?
-C'est pas gravce, apllique ce que tu as appris jusqu'a aujourd'hui.
-Je ne peux pas !
-Détends-toi , y a un endroit où tu peux t'assoire ?
-Oui, y a un banc fait à partir de gros rondins.
-Va y assie toi un instant ferme les yeux.
-Non, je peux pas
-Allez ma belle ferme les yeux fais le pour moi.
-Dis moi au moin qui tu es avant que je meurt.
-Je te le dirai quand tu sera en bas
-C'est du chantage
-Non de la tactique
-Tu es horrible
-Tu as toujours autant de tempérament. Je vais te raconter quelque chose de très beau qui va te rappeller que ça vaut la peinne de vivre. Ferme les yeux, reine des neige.

j'ai obéi.

-La valse, la valse des neige, nous la dansons tous les deux, toi et moi, seuls.

J'était tellement épuisée que je me suis laissée aller. J'ai ouvert les yeux et j'ai aprecu un skieur qui avançait seul sur la crête.
*Ame isolée comme moi* ai-je pensée.

-Allez ma belle tu es forte. Tu vas déscendre la piste, je vais t'aider d'accord ?
-Et comment. Les mots ne servent plus à rien, j'ai besoi nde quelqu'un qui me tienne la main et me guide pas de quelqu'un comme toi qui parle bien mais qui n'est pas là quand j'ai besoin de lui.
-Tu ne serais pas un peu injuste ?

J'ai eu soudain l'impression de ne plus être seule sur le banc.

-Allez ma belle ouvre les yeux.

J'ai ouvert les yeux et j'ai vu Matthieu. Il a mis le portable devant sa bouche et il a dit:

-Je suis suffisamment réel maintenant ?

Des âmes plus sensibles que a mienne seraient surement tombées dans le spommes à ce moment-là. Chez moi, ça a déclenché un rire ennorme, le rire le plus bête que j'ai jamais eu, un rire jaune. Je me suis jetter dans le spbras de mon sauveur.
Il m'a laisser faire. Il a doucement essuyé les larmes de mes joues.

-Quel lieu parfait pour un premier rendez-vous ! a t il dit satisfait.
-Et pour un premier baiser! ai-je murmuré.

Nos lévres se sont rencontrées, le baiser que nous avons échangé était incroyablement doux et pas de morsures cette fois ci. Ila déclenché aussitôt une vague de bonheur chez moi. Comme un glacier qui fond au printemps.
Quand Matthieu m'a guidée au milieu des bosses des pistes, ma peur à peu à peu disparue. Au bout de quelques temps, nous avons quitté la zone dangeurese.
Me genoux ne trembaient plus. Au lieu de la peur panique, la musique de <<La Valse des neiges>> me trottait dans la tête.
Nous avons terminé côte à côte à la dernière piste, c'était un peut comme si nous valsions.

Toi et moi seuls...

Nous avons attient la station à la tombée de la nuit. Les yeux de Matthieu me disait que nous avions réussis. Ile disaient aussi beaucoup d'autrres choses. Il a sorti son portable.
La mien à sonné et j'ai souri.

JTM

Son suméro n'était plus masqué, je lui ai aussitôt répondu, je lui ai envoyé mon premier SMS.

JTMA...

Fin de la première partie

Ca faisait trois mois que j'étais avec Matthieu que j'appellais désormais Matt. Nous n'étions pas très brillant tous les deux au niveau des études mais on avait une passion en commun: le chant. Lui avait monté un groupe avec des potes à lui, et moi je chantais dans des soirées et j'enchainais les castings. Nous n'avions pas du tout le même registre, lui était plutôt R'N'B alors que moi c'était plutôt de la saoul, on me disait que j'avais une très belle voix de soprano qui était très puissante. Mes parents m'encourager pour continuer dans ce domaine là. Les pauvres, je sais qu'ils auraient rêver d'une fille qui continue ses études et qui soit brillante mais c'était pas mon cas du tout, j'avais un grave problème avec l'autorité de mes profs. J'était très reconaissante envers mes parents de m'encourager autant dans mon rêve, ils avaient la foi et moi et ça m'encourrageait d'autant plus. Mes deux amie me soutenaient aussi, Vic elle s'était proposée de devnir mon agent, elle était très douée pour la danse, elle voulais en faire son métier. Brit quand à elle m'avait dit que si elle avait besoin d'une atachée de presse elle était dispo. Britanie était de loin la plus douée pour les études entre nous trois, elle se préparé à une braillante carrière dans le droit.
Revenons en à Matt et moi: on était l'un des couple les plus populaire du lycée, on s'entendaient à merveille et on s'aimaient comme des fous. Cela entrainer malheureusement des jalousies, Matt lui avait toujours une hordes d'admiratrices qui le suivaient, et une en particulier qui faisait tout pour nous séprarer. Vous avez dû certainement comprendre que Matt était quelqu'un qui avait un physique assez avantageux. Moi de mon côté Seb continuair à me coller à me taper singulierement sur les nerfs. Lui et mon amour ne s'apperçiait pas du tout, fallait les voir quand ils se trouvaient à quelques mètres l'un de l'autre, si j'étais pas là pour calmer Matt ça aurait dégénéré en baguarre depuis bien longtemps.

Ca faisait déjà quelques semaines que Matt répétait avec son groupe, ils avaient besoin d'une voix féminine et il se sont naturellement tournés vers moi. J'ai déclinée la proposition: les groupe c'était pas pour moi, je suis plutôt solitaire et puis on ne mélange jamais travail et plaisir. Ah le plaisir parlons en. Si ça ne vous fait rien je vais vous raconter l'éxpréiance la plus exaltante de ma vie: ma première fois.
On a commencé à en parler au bout de notre quartième mois de relation. C'est lui qui a abordé le sujet en premier.

-Ma puce ça commence à devenir sérieux entre nous non ?
-Oui.
-Tu sais que je t'aime ?
-Je l'éspére.
-Et toi tu m'aime ?
-Si je t'aimais pas ça ferais longtemps qu'on ne serait plus ensembles.
-Sympa comme réponse. Bon écoute j'ai pensé que comme ça devenait plutôt sérieux entre nous et que l'on était sûre de nos sentiments l'un envers l'autre. Enfin je sais pas trop comment te dire ça.
-Accouche et viens en aux fait. Je suis toute oui.
-Ca te va bien de dire ça, en plus t'as l'air très interessée. C'est très important pour moi.

J'ai posé le livre que j'étais entrin de lire et je l'ai regardé droit dans les yeux.

-J'éspére que ça l'ai vraiment, je doit lire se livre pour demain et il me reste encore une centaine de pages.
-Bon fini ton livre on en reparlera plus tard si t'as le temps.
-Oh mon coeur je voulais pas te vexé, si c'est important pour toi ça l'ai pour moi aussi, va y mon coeur parle.
-Ben comme ça devient asez sérieux entre nous j'ai pensé qu'on pourrait passer à une autre étape.
-Soit plus explicite, je vois pas trop où tu veux en venir.
-Ben... Je sais que tu n'a jamais fait ça avec une autre mec...
-... fais quoi ?
-L'amour.

A ce moment là j'ai compris où il voulait en venir, j'ai préféré lui simplifier la tache.

-Et tu veux qu'on couches ensembles ?
-Heu...Oui merci de m'aider je savais pas trop comment te le dire.
-Mon amour je t'aime sinscérement, mais tu as beauoup plus d'expériance que moi, pour tout te dire j'ai très peur.
-Tu te souviens quand tu avait très peur de te tordre le cou en déscendant le Cheval Noir ?
-Oui mais je voit pas le rapport.
-Laisse moi terminer tu veux ?
-Pardon, va y.
-Merci, et ben cette descente on l'a fait ensemble et tout s'est passé pour le mieux. Là c'est pareil, tu n'a rien à craindre avec moi, tant qu'o nest ensemble tout se passera pour le mieux, fait moi de nouveau confiance.
-T'as raison, je vois pas ce que j'ai à craindre avec toi.

Quelques jours plus tard je me suis donnée à lui, je lu iai offert ce que je n'avais jamais donner à un autre avant lui: mon corps. Ce fut l'instant le plus magique que j'ai jamais connu. J'en ai d'abord parlé à mes amis, elles m'ont encouragées ce qui m'a encore plus motivé. Mais elle m'ont quand même avertie de ne pas oublier de me couvrir et m'ont rassurées.

-Ca peut être douloureux la première fois mais après ça passera vite, et la douleur fera place au plaisir, m'a rassuré Brit.

Brit était avec Philou depuis le séjour au ski et ils avaient fait leur première fois ensemble. Il ne restait plus que Vic toute seule, on comprennait pas tout à fait car elle était de loin la plus belle de nous trois.

Donc j'ai offert à Matt ce que je n'aurait put donner à un autre homme. Bizarement je n'ai ressentie aucune douleure. Je penses que c'était dpu à son incroyable douceur. Il n'a pas arrêter tout le long de me chuchoter des mots d'amour, chaque fois que ses goigt caressait une parcelle de mon corps je fermissais comme jamais. C'était tellement fort que j'en avait des frissons partout. Quand il passa sa main sous mon tee-shirt pour le l'hauter, mon coeur s'est emballé. Au bout d'un certains temps mon hymen s'est cassé et un filet de sang s'est mis à couler. Je dirait que c'était le moment le plus douloureux mais les "Je t'aime" de Matt m'ont rassuré. Je mordais à pleine dents dans un fruit défendu qui m'étais jusqu'a là inconnu. Quand nous eûmes finis Matt me serra fort contre lui en me disant que rien ne poura jamais nous séparer car notre amour était plus fort que tout.

Je me remet à mettre les titres de chapitres j'ai trouvé l'inspi.

Embrouille et Popstar

Les jours qui on suivirent furent aussi magique que les précédents. Nous étions plus amoureux que jamais et les mauvaises langues s'en sont données à coeur joie. Matt et moi n'écoutions pas, si on devait s'en trenir au différentes rumeurs ça ferait longtemps que notre belle romance se serait achevée. Mais cette fois-ci Seb à fait fort, je savais qu'il avait un petit faible pour moi et qu'il essayait de casser ma belle histoire mais là ça dépassait tout ce que je pouvais imaginer. Alors que j'était dans un couloir et que j'allais rejoindre mon cours il s'est approché de moi ma pris par le bras m'a serré contre lui et m'a embrassé en rentrant sa langue de vipére tout en me mettant sa grosse main debrute sur mes fesses. Je me suis tout de suite reculé et j'ai levé ma main pour lui flanquer la giffle la plus monumental qu'il n'avait jamais connu. Mais quelqu'un m'a devancé, avant que je n'ai pu faire quoi que ce soit, un poinf à attérit sur le nez de mon voleur de baiser. Je me suis retournée effrayée, Matt se tennait à côté de moi. Il a pris Seb par le col de sa veste, a mis une main sur sa tête et lui a cogné contre le mur. Je n'avais jamais Matt dans un tel état, ses yeux d'habitude d'une douceur réconfortante lancaient des éclairs.
De mon côté j'essayait de retenir Matt qui s'était à nouveau attardé sur Seb qui pissait à present le sang.

-Laisse le il en vaut pas la peinne, arrête Matt.

Un pion est arrivé à ce moment là en courant, alérté pas les cris des autres filles.

-Surtout ne m'aidez pas, ai-je adressé à ceux qui était autour et qui regadé une main plaqué contre la bouche sans rien faire.

Le pion à réussis à arrêter Matt.

-Monsieur **** dans le bureau du principal immédiatement, ce comportement est inadmissible dans cet établissement, on est pas sur un ring de boxe.

La réponse du principal ne se fis pas attendre, 8 jour de renvoie et un conseil discipline. Matt était plutôt mal barré étant donné que Seb était délégué avec Alexi qui en passant était raide dingue de Seb. 8 jours plus tard à la nouvelle était tombée: Matt était renvoyé.

-Tu compte faire quoi maintenant ? lui ai-je demandé après un moment d'intimité.
-Les études c'est pas pour moi, hors de questions de me réinscrire dans un lycée, tampi et puis je travail donc ça peut allez pour l'instant.
-Ouais si on peut appeller ça un travail, tu va faire quoi d'autre à part faire cuire des hamburgers au macdo ?
-Y a la troisième édition de popstar qui va débuté j'ai pensé qu'on pouvait tenté notre chance tous les deux.
-Oh tu sais la télé réalité c'est pas du tout mon truc, je préfére faire les castings sans juge aussi impitoyable, puis y a aussi la danse à Popstar et c'est pas du tout mon truc tu le sais bien.
-A ouais j'y avais pas pensé.
-Mais pour toi ça peut être très interessant, tente ta chance on verra bien ce qui arrivera.
-Tu compte continuer le lycée toi ?
-Ben à vrai dire non, maintenant que t'en parle j'en profite, j'ai était contacté par un agent, qui est pas la même occasion l'agent de Joss Stone, il dit aimer ma voix et que je pourait être une révélation.
-Ah c'est super mon coeur t'en a parlé à tes parents ?
-Oui il le savaient avant moi vu que l'agent les a d'abord contactés, et Vic et Brit le savent aussi.
-Je vois que je passe en premier.
-Ben elles étaient avec moi.
-Tu as accéptée ?
-Je sais pas trop ce que je vais dire.
-Pouruqoi donc ?
-Ben faut que j'aille habiter à Paris, et pour tout te dire j'en ai pas très envie.
-Pourquoi ?
-Ben pardis j'ai pas envie de me séparer de toi voyons, ni de mes amies.
-Elles en disent quoi elles ?
-Elle me disent d'y aller, et mes parents pareil mais je veut pas me séparer de toi.
-Tu est folle ?
-C'est gentil je te prouve mon amour et toi tu me traite de dingue.
-C'est un oportunité qui se présente qu'une fois dans une vie, et puis imagine que je monte à Paris pour popstar on pourra se retrouver.
-Et si tu montes pas jusqu'a Paris ?
-Tu me fais vachement confiance.
-Mais oui que je te fais confiance c'est juste que je me pose pleins de questions.
-Arrete de réfléchir et fonce, fais le pour nous.
-Mouais
-Y a pas de mouais qui tienne tu y va et basta.
-Je t'aime mon coeur.
-Je prends ça pour un oui ?
-Considére que je vais y réfléchir.
-Donc c'est oui.
-Bon ok je dirais oui.

Le début de deux belles carrières

J'avais pris ma déscision: j'allais tenter ma chance à Paris. Je ne me faisait pas de soucis pour Matt, il avait beaucoup de talent et il réussirait surement. Mes copine était folles de joie pour moi, Vic allait venir avec moi pour pouvoir tenter sa chance dans la danse. Brit elle restait à Strasbourg le temps d'avoir son BAC mais irait à l'université à Paris. La séparation avec ma famille et mon amie me déchirait le coeur mais comme il disaient tous: y a interent, le téléphone et surtout les vacances.
Je suis partie de chez moi durant le mois de mai. Un petit mais très bel appartement avait était loué pour la maison de disque pour moi et mon ami le temps qu'on se fassent une situation. Mon agent m'a laissé une semaine le temps de réspirer et de m'ahbituer à ma nouvelle vie dans la capitale. Entre temps j'avais intergrer la maison de production EMC Records. Ma carrière allait commencer fort d'après ce que disait mon agent.
Nous avons travaillé durant deux mois sur mon album et mon premier single était une dédicasse à mon Matthieu et à notre histoire. J'avais moi même composé les parles et la musique.

Durant ce temps Matt se préparait pour Popstar. Je l'avais au bout du fil tous les soirs, je sentais bien qu'il envhiait un peut ma nouvelle vie, mais bientôt nous serons réunis pour partager la même passion.
une après-midi mon téléphone sonna, je vous laisse devienner qui était à l'autre bout du fil.

-Mon coeur je suis pris, je monte à Paris dans la semaine.
-C'est formidable, ton rêve est sur le point de s'exausser, je suis tellement heureuse pour toi.
-Tu t'imagine plus que quelques semaine et on pourra enfin être réunis.
-Ah j'imagine que pendant que tu sera là on pourra aps se voir.
-Ouais c'est le seul point négatif, tu me manques tellement.
-Tu me manques aussi, mais concentre toi sur ton objectif et ne pense à rien d'autre.
-J'essairais mais tu est omniprésente dans mes pensées.
-Je sais, je sais....
-Tes chevilles vont bien, c'est la célébrité qui te fait prednre le melon ?
-Quelle célébrité ? Rien n'est encore sorti MONSIEUR
-En parlant de ça, t'en est où toi ?
-Mon premier single sort dans une semaine, l'album suivra un mois plus tard.
-Ah et quel est le titre de la nouvelle tuerie ?
-Mon premier amour
-Ah et qui est cet amour ?
-Une personne formidable que j'ai à l'autre bout du fil.
-...
-T'es mort ?
-Non je suis encore là mais je ne sais pas quoi dire.
-Un petit "merci mon amour" serait le bienvenue tu trouves pas ?
-Merci mon amour
-Je t'en pris, tu viendra quand sur Paris ?
-Dans la semaine je te l'ai déjà dit.
-Oui mais dans une semaine y a 7 jours, lequel ?
-Samedi.
-Tu vois c'est pas compliquer. Bon mon coeur je doit te laisser je doit allez bosser.
-Travaille bien, je t'aime.
-I Love you too.

Mon single était sortis comme prévu, il a eu le succé qu'on a attendu, au bout d'un mois de commercialisation plus de 150 000 exemplaires s'était écoulés, je travaillais d'arche pieds pour la sortie de mon album. Un inedit devait sortir, un duo avec la grande Alicia Keeys. Nous avions prévu une grande tourée, j'avais déjà des centaines de fans tous plus gentils les uns que le autres. Matt de son côté avait était sélectionné pour faire parti du groupe gagnant (je décris pas trop vu que vous savez comment ça c'est passé) en compagnie de deux autres garçon qui étaient adorables. Je le voyais assez souvent mais nos emploits du temps de ministres nous séprarez parfois durant une semaine entière. J'étais de plus en plus connu et lui aussi, pour ne pas attisé les jalousies comme c'était déjà le cas, nous avons préférés faire de notre histoire un secret que seul nos amies proches et nos familles savaient l'existance. Pour être plus crédible nous avions fait croire au près de nos anciennes conaissances que nous nous étions séprarés suite à mon départ sur Paris.

Les semaines passait et je voyait Matt de moins en moins, ce n'était pas de sa faute mais de la mienne, lui essayait d'être le plus souvent sur Paris mais moi je me consacré trop à ma carrière au point de faire passer Matt en second. Victoria s'était rendu compte du malaise que Matt pouvait éprouver. Alors que j'étais en studio mon portable sonna.

-Koukou ma puce, c'est Vic je doit te voir tout de suite.
-C'est important parce que là je doit vraiment bosser.
-C'est même très important, rejoint-moi au café en face du studio, j'y suis déjà.
-Ok j'arrive à tout de suite.

Je me suis excusée au près de tout le mond en disant que j'avais un problème d'odre personnel à réglé et que c'était important. Je suis partie rejoindre mon amie au café.

-J'éspére que c'est vraiment important tu m'a chambouller toute ma journée.
-Sympa l'acceuil, c'est fou depuis que tu est devenue célébre tu as de moins en moins le temps pour personne.
-Tu essaie de me dire que j'ai pris la grosse tête ?
-Un peut ouais.
-Tu plaisantes ou pas ?
-Non je suis très sérieuse.
-Ah merde alors, je m'en était même pas rendu compte, mais qu'est-ce que tu vux dire par tu as de moins en moins le temps pour personne ? Je suis toujours là pour toi quand tu en a besoin non ?
-Ce n'est pas de moi que je veux parler mais de Matt.
-Qu'est ce qu'il a Matt ?
-Tu vois pas qu'il va très mal en ce moment.
-Faudrait déjà que je le voye tout court.
-Justement c'est ça le probleme, tu fais passer ta carrière avant lu iet il en souffre beaucoup, il fait toujours le maximum pour être à tes côtés et toi c'est toujours "ah désolé je doit allez enregistrer" ou "on prépare la tournée j'ai pas le temps aujoud'hui on se voit demain", le probléme c'est que tu repousse toujours tout au lendemin et Matt en souffre beaucoup.
-Comment veux-tu que je le sache il m'en parle pas.
-Tu pourrais faire comme moi, simplement le remarqué. Matt ne veut pas t'en parler parce qu'il ne veut pas se mettre en travers de ta carrière, il sais que tu travaille dur pour ça, mais lui aussi à sa carrière mais il trouve toujours le temps pour toi. Ecoute ma puce je te fais aucun reproche, c'est juste que ça va faire presque un an que vous êtes ensemble et je penses que Matt compte beaucoup pour toi, ça serait bête de le perdre pour des bêtises comme ça après tout le mal qu'on s'est donné pour savoir qu iétait ton mystérieux admirateur, souviens toi.
-Je suis désolé je ne peux pas rester plus longtemps, j'ai encore du boulot, je te promet d'y réfléchir mais là je peux vraiment pas rester plus longtemps.
-Ouais je connais la chanson, on la connais tous. Réfléchis bien. N'oublie pas que c'est ton couple qui est en jeux, déconne pas sur ce coup là.

Je suis repartie au studio mais je n'arrivais plus à me concentrer, j'enchainer les fausse notes et mon manager qu iétait présent avec moi à ce moment là le remarqua.

-On fais une pause ! Débo viens voir deux minutes s'il te plait. Qu'est-ce qui se passe aujourd'hui ?
-J'ai des petits problèmes qui encombrent mon espris, je suis désolé.
-Bon ça fais rien, rentre chez toi, on reprendra demain.
-Je crois qu'il n'y aura pas de demain.

Sans rien ajouté j'ai pris mes affaires et suis partie en laissant mon manager en plan la bouche grande ouverte.

Dans le taxi j'ai sorti mon portable et me suis mise à réfléchir comme jamais, fallait-il que j'appelle Matt ou pas ? Après 5 bonnes minutes de lutte acharnée entre le oui et le nom, j'ai composé son numéro, c'était pour faire passer un peut le temps étant donné que j'avais son numero dans mon répertoire.

-Matt, tu vas bien mon coeur ?
-Ouais ça peux aller, t'es pas censée être en studio.
-Oui... enfin non...
-Oui ou non !
-J'y étais mais j'y suis plus, on pet se voir ?
-Là je peux pas mais en fin d'après midi ok, vers les 18h ça te va ?
-Ok je t'attends à 18h, soit à l'heure pour une fois.
-Promis j'essairais, à tout à l'heure.
-D'accord mon coeur, je t'aime.
-Bye

Et il a raccorché, pas de "je t'aime moi aussi" c'était la première fois depuis qu'on était ensemble qu'il ne répondait pas à un de mes mots d'amour, la situation semblait être vraiment critique.